Les ingénieurs ont achevé les « préparations techniques nécessaires à la reprise de la production de pétrole », a annoncé le bureau du président Salva Kiir dans un communiqué publié le 16 septembre à Juba suite à sa réunion avec le général Abdel Fattah al-Burhan.
De son côté, le Conseil souverain soudanais a précisé qu'une commission commune avait été mise en place pour élaborer un plan de pompage et de réacheminement du pétrole. Des ingénieurs sud-soudanais se rendront au Soudan dans les semaines à venir pour évaluer l'état des installations et préparer la relance de la production.
« Il y a eu une percée, et elle sera rendue publique très bientôt », a déclaré Marial Dongrin Ater, ministre sud-soudanais des Finances.
Avant le déclenchement de la guerre civile, la production de pétrole brut du Sud-Soudan atteignait entre 350 000 et 400 000 barils par jour. Le principal oléoduc transportait le pétrole sur 1 500 km jusqu’à Port Soudan, sur la mer Rouge, tandis qu'un autre oléoduc acheminait le pétrole depuis l'État d’al Wahda au Soudan du Sud également vers Port Soudan.
Les deux parties au conflit s'accusaient mutuellement de la responsabilité de l'arrêt du transport du pétrole, mais le Soudan est également confronté à une pénurie de diesel, nécessaire au fonctionnement des oléoducs.
De son côté, le Conseil souverain soudanais a précisé qu'une commission commune avait été mise en place pour élaborer un plan de pompage et de réacheminement du pétrole. Des ingénieurs sud-soudanais se rendront au Soudan dans les semaines à venir pour évaluer l'état des installations et préparer la relance de la production.
« Il y a eu une percée, et elle sera rendue publique très bientôt », a déclaré Marial Dongrin Ater, ministre sud-soudanais des Finances.
Avant le déclenchement de la guerre civile, la production de pétrole brut du Sud-Soudan atteignait entre 350 000 et 400 000 barils par jour. Le principal oléoduc transportait le pétrole sur 1 500 km jusqu’à Port Soudan, sur la mer Rouge, tandis qu'un autre oléoduc acheminait le pétrole depuis l'État d’al Wahda au Soudan du Sud également vers Port Soudan.
Les deux parties au conflit s'accusaient mutuellement de la responsabilité de l'arrêt du transport du pétrole, mais le Soudan est également confronté à une pénurie de diesel, nécessaire au fonctionnement des oléoducs.
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