A aucun moment pendant cette visite du Conseil de sécurité au Soudan du Sud, le sort Riek Machar n'a été publiquement évoqué.
En fait, les diplomates, comme le Français Alexis Lamek, ambassadeur adjoint à l'ONU semblent maintenant vouloir tourner la page de l'ancien vice-président et chef rebelle aujourd'hui en exil à Khartoum. « Ce qui est sûr pour nous, c’est que ces questions-là ne doivent pas retarder la mise en place de l’accord de paix, commente-t-il. Il faut qu’il avance, il faut absolument avancer dans la mise en œuvre de l’accord de paix. »
Les membres du Conseil de sécurité ont concentré leurs efforts sur la force de protection de l'ONU. 4 000 hommes dont le président Salva Kiir a accepté le déploiement du bout des lèvres, mais plusieurs points restent encore à négocier. « D’une part, la composition : quels seraient les contributeurs de troupes, d’autre part, la durée du déploiement, et des précisions sur le mandat. Tout cela, ce sont des questions vraiment valides. Il y a donc un dialogue qui doit se tenir et ça, c’est légitime », estime le diplomate français.
Pendant quatre jours, les membres du Conseil de sécurité ont pu constater par eux-mêmes la réalité au Soudan du Sud, rencontrer des victimes du conflit, des réfugiés, et prendre acte d'une situation qui, disent-ils, est encore plus alarmante qu'ils l'imaginaient.
Source: Rfi.fr
En fait, les diplomates, comme le Français Alexis Lamek, ambassadeur adjoint à l'ONU semblent maintenant vouloir tourner la page de l'ancien vice-président et chef rebelle aujourd'hui en exil à Khartoum. « Ce qui est sûr pour nous, c’est que ces questions-là ne doivent pas retarder la mise en place de l’accord de paix, commente-t-il. Il faut qu’il avance, il faut absolument avancer dans la mise en œuvre de l’accord de paix. »
Les membres du Conseil de sécurité ont concentré leurs efforts sur la force de protection de l'ONU. 4 000 hommes dont le président Salva Kiir a accepté le déploiement du bout des lèvres, mais plusieurs points restent encore à négocier. « D’une part, la composition : quels seraient les contributeurs de troupes, d’autre part, la durée du déploiement, et des précisions sur le mandat. Tout cela, ce sont des questions vraiment valides. Il y a donc un dialogue qui doit se tenir et ça, c’est légitime », estime le diplomate français.
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Source: Rfi.fr
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