Aujourd’hui, celui qui détestait l’histoire et la géographie selon le même journal, et qui a suivi les pas de son grand-frère footballeur, Djibril Diawara avec un palmarès riches en club, n’a qu’un seul objectif : vivre des moments de bonheur avec la sélection nationale du Sénégal à la Can, dans un mois en Guinée Equatoriale et au Gabon.
« Je voulais être sapeur-pompier parce que j’aime les gens qui sauvent des vies. Ça m’a toujours passionné et ça me passionne toujours. J’étais prêt à faire les tests. J’aimais les camions de pompiers comme tous les enfants », a-t-il dit.
Pour le défenseur de l’Olympique de Marseille, il a opté pour le football par plaisir. « C’est par plaisir. Plaisir de jouer au quartier avec tous les potes. Ensuite, j’ai vu mon frère s’acheter une voiture et a aussi acheté pleins de trucs à ma mère, je me suis dit : J’aimerais bien faire ça. Dès lors je me suis concentré au foot pour pouvoir être professionnel », confie Diawara.
A savoir si c’est le luxe qui l’a poussé à devenir footballeur. Il répond négatif : « Non, ce n’est pas le luxe. Attention, c’est vrai qu’il y a le luxe aussi. Mais avant tout, c’est la passion. J’aimais le foot. Je savais que l’école, c’était un peu plus difficile pour moi et que j’avais une chance de m’en sortir avec le foot. Donc, je suis me dis : donnes-toi à 200% dans le foot », martèle le défenseur des Lions de la Téranga.
« Je voulais être sapeur-pompier parce que j’aime les gens qui sauvent des vies. Ça m’a toujours passionné et ça me passionne toujours. J’étais prêt à faire les tests. J’aimais les camions de pompiers comme tous les enfants », a-t-il dit.
Pour le défenseur de l’Olympique de Marseille, il a opté pour le football par plaisir. « C’est par plaisir. Plaisir de jouer au quartier avec tous les potes. Ensuite, j’ai vu mon frère s’acheter une voiture et a aussi acheté pleins de trucs à ma mère, je me suis dit : J’aimerais bien faire ça. Dès lors je me suis concentré au foot pour pouvoir être professionnel », confie Diawara.
A savoir si c’est le luxe qui l’a poussé à devenir footballeur. Il répond négatif : « Non, ce n’est pas le luxe. Attention, c’est vrai qu’il y a le luxe aussi. Mais avant tout, c’est la passion. J’aimais le foot. Je savais que l’école, c’était un peu plus difficile pour moi et que j’avais une chance de m’en sortir avec le foot. Donc, je suis me dis : donnes-toi à 200% dans le foot », martèle le défenseur des Lions de la Téranga.
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