Deux semaines après les élections législatives, la Suède est toujours dans l’impasse. Ce mardi matin, les députés nouvellement élus ont démis de ses fonctions le Premier ministre Stefan Löfven, qui restera cependant à son poste pour expédier les affaires courantes.
Mais personne ne sait encore qui pourrait le remplacer, et encore moins la couleur politique de la majorité « qui va gouverner le pays pour les quatre prochaines années ».
Le vote des Suédois, qui n’ont donné qu’un seul député d’avance à la coalition de gauche par rapport à celle de droite, et qui ont mis l’extrême droite en position d’arbitre, a déjà bouleversé les habitudes politiques du pays.
Vers une alliance droite-extrême droite ?
La présidence du Parlement, qui revient traditionnellement au bloc le plus important, a finalement été attribuée lundi à un député de droite, soutenu par le vote de l’extrême droite.
Ce nouveau président devrait maintenant confier la tâche difficile de former un nouveau gouvernement à Ulf Kristersson, le patron des conservateurs. Sachant que la droite ne pèse pas assez pour gouverner seule, et qu’elle refuse pour l’instant le soutien de l’extrême droite, les négociations s’annoncent longues et difficiles.
Mais personne ne sait encore qui pourrait le remplacer, et encore moins la couleur politique de la majorité « qui va gouverner le pays pour les quatre prochaines années ».
Le vote des Suédois, qui n’ont donné qu’un seul député d’avance à la coalition de gauche par rapport à celle de droite, et qui ont mis l’extrême droite en position d’arbitre, a déjà bouleversé les habitudes politiques du pays.
Vers une alliance droite-extrême droite ?
La présidence du Parlement, qui revient traditionnellement au bloc le plus important, a finalement été attribuée lundi à un député de droite, soutenu par le vote de l’extrême droite.
Ce nouveau président devrait maintenant confier la tâche difficile de former un nouveau gouvernement à Ulf Kristersson, le patron des conservateurs. Sachant que la droite ne pèse pas assez pour gouverner seule, et qu’elle refuse pour l’instant le soutien de l’extrême droite, les négociations s’annoncent longues et difficiles.
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