Abou Abel Thiam, «Abdoulaye Wade, hier comme aujourd’hui n’a aucun respect pour nos institutions»
Le président sortant, Abdoulaye Wade secoue le palais. Réagissant à propos de l’appel de ce dernier lors de la marche des libéraux, le porte-parole du président, Abou Abel Thiam dénonce le «mépris manifeste et inqualifiable » du père de Karim et annonce de terribles représailles à l’encontre des «perturbateurs».
«Abdoulaye Wade fait preuve d’un mépris manifeste et inqualifiable vis-à-vis du peuple sénégalais. Hier comme aujourd’hui, il n’a aucun respect pour nos institutions, nos règles et nos lois. Rappelez-vous, étant le chef de l’Etat chargé d’appliquer les lois, il avait tenté de soustraire son fils à toute forme d’injonction visant à rendre compte. Ce qui était manifestement une violation de la loi et cela avait valu au chef de l’Etat, Macky Sall sa fonction de président l’Assemblée nationale», a d’emblée réagi le porte-parole de la présidence de la République, Abou Abel Thiam.
Le père aujourd’hui dans l’opposition s’inscrit dans «cette même dynamique qui consiste à soustraire Karim de l’application des lois qui nous sont communes et applicables à tous les Sénégalais». Ce même fils qui a «acquis la nationalité sénégalaise qu’en 2002» et «qui n’est revenu qu’au Sénégal que pour procéder à une vaste opération de vol des deniers publics», selon lui.
De ce fait, poursuivant de plus belle, le porte-parole prévoit le même traitement réservé à Karim aux «perturbateurs».
«Au nom de la loi qui fait que la justice poursuit ces gens, il ne sera pas permis que d’autres perturbent le fonctionnement des institutions et polluent le pays sous le prétexte qu’un individu est en prison», avertit Abou Abel Thiam
Le président sortant, Abdoulaye Wade secoue le palais. Réagissant à propos de l’appel de ce dernier lors de la marche des libéraux, le porte-parole du président, Abou Abel Thiam dénonce le «mépris manifeste et inqualifiable » du père de Karim et annonce de terribles représailles à l’encontre des «perturbateurs».
«Abdoulaye Wade fait preuve d’un mépris manifeste et inqualifiable vis-à-vis du peuple sénégalais. Hier comme aujourd’hui, il n’a aucun respect pour nos institutions, nos règles et nos lois. Rappelez-vous, étant le chef de l’Etat chargé d’appliquer les lois, il avait tenté de soustraire son fils à toute forme d’injonction visant à rendre compte. Ce qui était manifestement une violation de la loi et cela avait valu au chef de l’Etat, Macky Sall sa fonction de président l’Assemblée nationale», a d’emblée réagi le porte-parole de la présidence de la République, Abou Abel Thiam.
Le père aujourd’hui dans l’opposition s’inscrit dans «cette même dynamique qui consiste à soustraire Karim de l’application des lois qui nous sont communes et applicables à tous les Sénégalais». Ce même fils qui a «acquis la nationalité sénégalaise qu’en 2002» et «qui n’est revenu qu’au Sénégal que pour procéder à une vaste opération de vol des deniers publics», selon lui.
De ce fait, poursuivant de plus belle, le porte-parole prévoit le même traitement réservé à Karim aux «perturbateurs».
«Au nom de la loi qui fait que la justice poursuit ces gens, il ne sera pas permis que d’autres perturbent le fonctionnement des institutions et polluent le pays sous le prétexte qu’un individu est en prison», avertit Abou Abel Thiam
Autres articles
-
Plan Diomaye pour la Casamance : le taux d’exécution du projet est de 46%, selon le comité de pilotage
-
Montrolland adopte un budget 2026 de près d’un milliard FCFA axé sur l’investissement et l’innovation
-
Affaire des fonds Covid : liberté provisoire accordée à Mouhamadou Bamba Amar
-
62 milliards de FCFA pour 2030 : le pari audacieux du COSEC pour la souveraineté logistique
-
COSEC : un demi-siècle d'excellence maritime et un nouveau cap stratégique pour l'avenir




Plan Diomaye pour la Casamance : le taux d’exécution du projet est de 46%, selon le comité de pilotage


