
Suite à la décision du chef de l'État de suspendre les activités minières dans la zone de la Falémé, le député Guy Marius Sagna estime : « Il a fallu attendre en 2024, cinq (05) ans après, pour qu'un président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, prenne un décret qui suspend jusqu'au 30 juin 2027 les activités minières dans la zone de la Falémé ».
Rappelant quand « en mai 2024, après être allé à la Falémé, j'ai interpellé l'Assemblée nationale (par une proposition de résolution de mise sur pied d'une commission d'enquête parlementaire) et le gouvernement (par une question écrite) en leur disant : il y a un ÉCOCIDE en cours à la Falémé ».
« L’Assemblée nationale BBY a dit qu'elle s'en foutait du sort des villages et des habitants longeant la Falémé. Seul le gouvernement a répondu. Et quelle réponse ! Je salue, félicite et encourage le gouvernement pour les mesures prises. Mesures qui peuvent être renforcées pour la dépollution et la réhabilitation de la Falémé », a souligné le député.
Par ailleurs, il ne manque pas de faire comprendre qu'« aujourd'hui, le Sénégal ne marche qu'avec une de ses jambes : le gouvernement. Il est temps que le Sénégal se réapproprie son autre jambe : l'Assemblée nationale. Avec deux jambes, le Sénégal sortira plus vite de l'appauvrissement, du sous-développement ».
Et de rappeler qu'en 2019, le haut-commissaire de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS), Ahmed Diane Semega, a dit de la Falémé : « J’ai le sentiment d’une extrême urgence sans jouer à l’alarmisme, car ce fleuve est dans un état de mort presque clinique. »
Il a fallu attendre en 2024 - cinq ans après - pour qu'un Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, dise : « La Falémé est une question de sécurité nationale ».
Rappelant quand « en mai 2024, après être allé à la Falémé, j'ai interpellé l'Assemblée nationale (par une proposition de résolution de mise sur pied d'une commission d'enquête parlementaire) et le gouvernement (par une question écrite) en leur disant : il y a un ÉCOCIDE en cours à la Falémé ».
« L’Assemblée nationale BBY a dit qu'elle s'en foutait du sort des villages et des habitants longeant la Falémé. Seul le gouvernement a répondu. Et quelle réponse ! Je salue, félicite et encourage le gouvernement pour les mesures prises. Mesures qui peuvent être renforcées pour la dépollution et la réhabilitation de la Falémé », a souligné le député.
Par ailleurs, il ne manque pas de faire comprendre qu'« aujourd'hui, le Sénégal ne marche qu'avec une de ses jambes : le gouvernement. Il est temps que le Sénégal se réapproprie son autre jambe : l'Assemblée nationale. Avec deux jambes, le Sénégal sortira plus vite de l'appauvrissement, du sous-développement ».
Et de rappeler qu'en 2019, le haut-commissaire de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS), Ahmed Diane Semega, a dit de la Falémé : « J’ai le sentiment d’une extrême urgence sans jouer à l’alarmisme, car ce fleuve est dans un état de mort presque clinique. »
Il a fallu attendre en 2024 - cinq ans après - pour qu'un Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, dise : « La Falémé est une question de sécurité nationale ».
Autres articles
-
Kolda : Le président du conseil départemental au chevet des blessés de l’accident de Vélingara
-
Ousmane Sonko au Daaka 2025 : le gouvernement réaffirme son engagement aux côtés des foyers religieux
-
Subvention ADEPME : le CDEPS dénonce une récupération politique et rappelle la vérité du processus
-
Signature du pacte de stabilité social : la FGTS/B dénonce une trahison et apporte son soutien « indéfectible » aux licenciés
-
Dakar recadre Jeune Afrique : une mise en demeure en réponse aux excès