L’ONU n’a pas encore réussi à localiser ses casques bleus, mais un premier contact a été établi avec le groupe armé responsable de leur capture. L’ONU dit savoir de « sources crédibles » que les 44 casques bleus fidjiens sont « sains et saufs ». Les ravisseurs ont même fourni une curieuse explication sur leurs intentions, affirmant détenir les soldats onusiens pour les protéger et les tenir éloignés des combats sur le Golan.
L’enlèvement n’a pas été revendiqué, mais tout porte à croire qu’il s’agit du Front al-Nosra, un groupe jihadiste lié à al-Qaïda. L’ONU a demandé l’aide des pays qui ont une influence sur les groupes islamistes en Syrie comme l’Arabie Saoudite et le Qatar.
72 autres casques bleus philippins sont toujours empêchés de sortir de leur base, encerclée par des militants islamistes. Là encore, l’ONU assure qu’ils sont en bonne santé et qu’ils ont la capacité de se défendre s’ils sont attaqués.
-
Bosnie: la présidentielle anticipée dans l'entité serbe pourrait tourner la page du nationalisme
-
Ukraine: la fille de Jacob Zuma a-t-elle orchestré le départ de Sud-Africains sur le front?
-
États-Unis: Donald Trump affirme que les négociations commerciales avec le Canada sont «rompues»
-
Nicolas Sarkozy incarcéré à la prison de la Santé, la demande de mise en liberté déposée
-
France: Cédric Jubillar condamné à 30 ans de réclusion pour le meurtre de son épouse




Bosnie: la présidentielle anticipée dans l'entité serbe pourrait tourner la page du nationalisme


