Dans ce qu’ils appellent une « déclaration locale conjointe », les représentants des puissances se disent préoccupés par la détention de plusieurs militants de la société civile, par l’absence d’information sur les charges retenues contre eux, ainsi que les conditions de leur détention.
Une allusion sans les citer à Nadjo Kaina, Bertrand Solloh Ngandjeï du mouvement citoyen Iyina et Dingamnayel Nely Versinis du Collectif tchadien contre la vie chère, trois militants de la société civile arrêtés courant avril, et dont on n’a pas eu de nouvelles pendant plusieurs jours.
Depuis lundi après-midi, ils séjournent à la police judiciaire et devraient être présentés au juge ce mercredi. Leur comparution programmée mardi 25 avril n’a pu avoir lieu en raison de l’indisponibilité du procureur de la République.
Les diplomates des quatre pays et l’Union européenne disent réitérer leur attachement aux libertés fondamentales, parmi lesquelles les libertés d’expression et de manifestation qui sont des composantes essentielles de la démocratie, et de l’Etat de droit. « Nous encourageons le Tchad à veiller au plein respect des droits consacrés par sa Constitution et par les engagements internationaux auxquels il a souscrit et qui participent à sa paix et à sa stabilité », conclut la déclaration.
Une allusion sans les citer à Nadjo Kaina, Bertrand Solloh Ngandjeï du mouvement citoyen Iyina et Dingamnayel Nely Versinis du Collectif tchadien contre la vie chère, trois militants de la société civile arrêtés courant avril, et dont on n’a pas eu de nouvelles pendant plusieurs jours.
Depuis lundi après-midi, ils séjournent à la police judiciaire et devraient être présentés au juge ce mercredi. Leur comparution programmée mardi 25 avril n’a pu avoir lieu en raison de l’indisponibilité du procureur de la République.
Les diplomates des quatre pays et l’Union européenne disent réitérer leur attachement aux libertés fondamentales, parmi lesquelles les libertés d’expression et de manifestation qui sont des composantes essentielles de la démocratie, et de l’Etat de droit. « Nous encourageons le Tchad à veiller au plein respect des droits consacrés par sa Constitution et par les engagements internationaux auxquels il a souscrit et qui participent à sa paix et à sa stabilité », conclut la déclaration.
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