Ces textes sont le fruit de sept mois de discussions entre acteurs politiques. Objectif, selon le ministre de l’Administration territoriale : apporter une série de propositions pour les améliorer afin qu’ils répondent aux attentes des différents bords.
Pour Innocent Kagbara, député du groupe Nouvel Engagement togolais-Parti démocrate panafricain (NET-PDP) qui fait partie de l'opposition à l'Assemblée nationale, c’est une victoire d’étape. « Concernant le code électoral, nous avons adopté la biométrie comme moyen d’enregistrement sur les listes, explique-t-il. Et un nouveau fichier sera fait. Ils vont être audités par l’ensemble des acteurs. Quant à ce qui concerne la loi sur les manifestations publiques, la plage horaire a été rallongée. »
« On est passé d’un régime de déclaration à un régime d’autorisation »
Un regret, s’exclame Nathaniel Olympio du Parti des Togolais, qui n’a pas pris part à la concertation : « La loi qui vient d’être votée sur les manifestations est un véritable retour en arrière. On est passé d’un régime de déclaration à un régime d’autorisation. »
Eric Dupuy dont le parti, l’Alliance nationale pour le changement (ANC), a quitté la concertation avant la fin des travaux, doute de la fiabilité du recensement biométrique : « Nous disons : à quoi cela sert d’avoir des recensements biométriques quand on ne peut pas contrôler les porteurs des cartes d’électeurs parce qu’il y a beaucoup de fraudes lors des élections ? »
Toutes ces modifications s'inscrivent dans le cadre de l'organisation des élections régionales, dont on ne connaît pas encore la date.
Pour Innocent Kagbara, député du groupe Nouvel Engagement togolais-Parti démocrate panafricain (NET-PDP) qui fait partie de l'opposition à l'Assemblée nationale, c’est une victoire d’étape. « Concernant le code électoral, nous avons adopté la biométrie comme moyen d’enregistrement sur les listes, explique-t-il. Et un nouveau fichier sera fait. Ils vont être audités par l’ensemble des acteurs. Quant à ce qui concerne la loi sur les manifestations publiques, la plage horaire a été rallongée. »
« On est passé d’un régime de déclaration à un régime d’autorisation »
Un regret, s’exclame Nathaniel Olympio du Parti des Togolais, qui n’a pas pris part à la concertation : « La loi qui vient d’être votée sur les manifestations est un véritable retour en arrière. On est passé d’un régime de déclaration à un régime d’autorisation. »
Eric Dupuy dont le parti, l’Alliance nationale pour le changement (ANC), a quitté la concertation avant la fin des travaux, doute de la fiabilité du recensement biométrique : « Nous disons : à quoi cela sert d’avoir des recensements biométriques quand on ne peut pas contrôler les porteurs des cartes d’électeurs parce qu’il y a beaucoup de fraudes lors des élections ? »
Toutes ces modifications s'inscrivent dans le cadre de l'organisation des élections régionales, dont on ne connaît pas encore la date.
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