La tension est loin de s’estomper dans la ville sainte après le houleux dimanche électoral. Arrêté pour port et utilisation d’arme, le député et responsable de l’APR (Alliance Pour la République, parti présidentiel) rumine sa colère.
« Depuis quelques semaines, nous travaillons avec nos troupes sur la route de Tindôdi où j'ai installé mon quartier général dans une maison louée. Nous y tenions nos réunions et y élaborions nos stratégies de campagne. Ce dimanche, à notre grande surprise, des gens nous ont menacé, alors que nous ne sommes pas l'administration, d'avoir saboté les élections en cherchant à empêcher les populations de Touba d'aller voter. En quoi cela nous regarde si des bureaux de vote ne fonctionnent pas. Ce blocage a terriblement handicapé notre coalition. C'est nous qui avons le plus perdu dans cette histoire. C'est ensuite que des cris ont été entendus au dehors. Nous nous sommes renseignés. Et, c'est l'opposition, armée de machettes, qui était venue nous attaquer. Aussitôt, certains de mes militants sont allés se réfugier et les autres sont sortis se défendre. Les assaillants ont fui. Quelques minutes après, la police est venue nous prendre », se plaint-il.
Loin d’en avoir fini, l’apériste regrette « son arrestation » qui a empêché, formule-t-il, «de convoyer (leurs) militants lorsque le vote a finalement démarré aux environs de 17 heures. Et c'est dommage ! ».
Pis, Abdou Lahad Seck Sadaga confie à Dakaractu que son « Quartier Général (QG) a été saccagée et ses « sept (7) millions de francs emportés ». Il s’en mord les doigts de n’avoir pas « sécuriser sa maison » lorsqu’il est sorti, hier.
« Depuis quelques semaines, nous travaillons avec nos troupes sur la route de Tindôdi où j'ai installé mon quartier général dans une maison louée. Nous y tenions nos réunions et y élaborions nos stratégies de campagne. Ce dimanche, à notre grande surprise, des gens nous ont menacé, alors que nous ne sommes pas l'administration, d'avoir saboté les élections en cherchant à empêcher les populations de Touba d'aller voter. En quoi cela nous regarde si des bureaux de vote ne fonctionnent pas. Ce blocage a terriblement handicapé notre coalition. C'est nous qui avons le plus perdu dans cette histoire. C'est ensuite que des cris ont été entendus au dehors. Nous nous sommes renseignés. Et, c'est l'opposition, armée de machettes, qui était venue nous attaquer. Aussitôt, certains de mes militants sont allés se réfugier et les autres sont sortis se défendre. Les assaillants ont fui. Quelques minutes après, la police est venue nous prendre », se plaint-il.
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