Le premier ministre aurait donc invoqué une situation d’urgence pour justifier le gré à gré, à en croire certains membres du gouvernement qui estiment que « le Building administratif, même s’il a besoin d’être réfectionné, ne donne pas l’impression de devoir s’écrouler dans un proche avenir », avant de s’interroger : « dans ces conditions, comment peut-on parler d’une situation d’urgence pour ne pas passer d’appels d’offre ? »
Pour sa part, Abdoul Mbaye qui a joint nos confrères du « Quotidien » par SMS, a voulu démentir la thèse selon laquelle le marché a été déjà attribué. « Une procédure de consultation restreinte va être lancée, après avis idoine de la DCMP et de l’ARMP », a-t-il indiqué tout en précisant que l’opération est pilotée par le secrétaire général du gouvernement, sous sa supervision, et qu’aucune entreprise n’a été retenue puisqu’elles n’ont pas encore été consultées.
Par ailleurs, « il est de toute façon hors de question de consacrer 80 milliards à un building à reconstruire, même s’il est devenu dangereux », conclut le PM, alors que rien ne peut ôter de la tête de ses détracteurs que c’est bien le montant de 80 milliards qui a été proposé par ses soins et que l’intention même de lancer une procédure restreinte « cache mal le souhait de servir des amis et des proches ».
Pour sa part, Abdoul Mbaye qui a joint nos confrères du « Quotidien » par SMS, a voulu démentir la thèse selon laquelle le marché a été déjà attribué. « Une procédure de consultation restreinte va être lancée, après avis idoine de la DCMP et de l’ARMP », a-t-il indiqué tout en précisant que l’opération est pilotée par le secrétaire général du gouvernement, sous sa supervision, et qu’aucune entreprise n’a été retenue puisqu’elles n’ont pas encore été consultées.
Par ailleurs, « il est de toute façon hors de question de consacrer 80 milliards à un building à reconstruire, même s’il est devenu dangereux », conclut le PM, alors que rien ne peut ôter de la tête de ses détracteurs que c’est bien le montant de 80 milliards qui a été proposé par ses soins et que l’intention même de lancer une procédure restreinte « cache mal le souhait de servir des amis et des proches ».
Autres articles
-
Dette du Sénégal : L’alerte rouge de la Bank of America face au refus d’Ousmane Sonko
-
Crise financière : «La dette cachée est une polémique qui n’a pas sa raison d’être» (Abdourahmane Sarr)
-
Guichets uniques et cybersécurité : les nouvelles priorités du commerce interafricain
-
Banane locale : 12.500 tonnes écoulées en septembre grâce au gel des importations
-
Le Port de Dakar annule les pénalités sur les marchandises maliennes pour trois mois




Dette du Sénégal : L’alerte rouge de la Bank of America face au refus d’Ousmane Sonko


