Le chroniqueur de la TFM, Badara Gadiaga, fera face à une audience déterminante ce jeudi au Tribunal de Dakar. Son dossier, qui a connu une évolution significative depuis son placement sous mandat de dépôt en juillet 2025, repose sur plusieurs chefs d'accusation.
Initialement convoqué pour « discours contraires aux bonnes mœurs », les poursuites ont été élargies et incluent désormais, « diffusion de fausses nouvelles, offense à une personne exerçant une partie des prérogatives du chef de l'État, violations de l'Article 80 alinéa 2 du Code pénal ».
Le chroniqueur avait bénéficié d'une liberté provisoire avec port du bracelet électronique le 10 novembre 2025, une mesure ordonnée par le doyen des juges. Toutefois, le parquet général avait alors fait appel, avant que le dossier ne soit transmis à la Chambre d'accusation pour arbitrage.
Ce pendant, le chroniqueur est particulièrement visé par les dispositions de l'Article 80 alinéa 2 du Code pénal, qui incrimine la réception, la sollicitation ou l'acceptation de dons ou subsides dans l'intention de mener une propagande susceptible de compromettre la sécurité publique ou de provoquer de graves troubles politiques.
Selon le journal « Les Échos », les investigations menées par la Division spéciale de cybercriminalité (DSC) auraient notamment mis en évidence une plateforme numérique, désignée sous l'acronyme GSIE, qui aurait servi de canal pour la réception de ces fonds.
Initialement convoqué pour « discours contraires aux bonnes mœurs », les poursuites ont été élargies et incluent désormais, « diffusion de fausses nouvelles, offense à une personne exerçant une partie des prérogatives du chef de l'État, violations de l'Article 80 alinéa 2 du Code pénal ».
Le chroniqueur avait bénéficié d'une liberté provisoire avec port du bracelet électronique le 10 novembre 2025, une mesure ordonnée par le doyen des juges. Toutefois, le parquet général avait alors fait appel, avant que le dossier ne soit transmis à la Chambre d'accusation pour arbitrage.
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