Sur les faits qui remontent en 2016, l’accusé, maçon de son état, avait un chantier à Scat Urbam, en face de la maison de la partie civile. Ainsi, il fréquentait la maison et s’était entiché de la tante de la supposée victime. Devenu un habitué de la maison, il en aurait profité pour abuser de A.D âgée de 12 ans.
Devant la barre, le mis en cause a totalement nié les faits qui lui sont reprochés. « Je n’ai jamais eu de rapport sexuels avec la fille. Je la connais parce que je venais chez elle et je sortais avec sa tante. Parfois, nous restions à trois pour discuter », argue-t-il.
Pour la défense, « il est important de se poser des questions sur la véracité des propos de l’accusatrice qui était absente à la barre ». « Comment une fille de 12 ans qui a été violée peut aller porter plainte sans ses parents. Mon client connais la gamine, car il va chez elle rendre visite à sa copine qui est sa tante », affirme la robe noir dans les colonnes du quotidien l'As.
Dans son réquisitoire, le maître des poursuites, soutient que le prévenu a reconnu partiellement les faits en avouant que la fille assurait parfois ses courses. « En décembre 2016, vous avez dit que vous avez couché avec la fille une fois. Toujours devant les enquêteurs, vous avez dit que lorsque vous avez couché avec elle, elle n’avait pas perdu son hymen », s’est adressé le procureur à M. Sonko. Ainsi, le représentant du parquet reconnait Mouhamadou Sonko coupable des faits, avant de requérir une peine d’emprisonnement de 10 ans ferme.
L’affaire est mise en délibéré aujourd’hui.
Devant la barre, le mis en cause a totalement nié les faits qui lui sont reprochés. « Je n’ai jamais eu de rapport sexuels avec la fille. Je la connais parce que je venais chez elle et je sortais avec sa tante. Parfois, nous restions à trois pour discuter », argue-t-il.
Pour la défense, « il est important de se poser des questions sur la véracité des propos de l’accusatrice qui était absente à la barre ». « Comment une fille de 12 ans qui a été violée peut aller porter plainte sans ses parents. Mon client connais la gamine, car il va chez elle rendre visite à sa copine qui est sa tante », affirme la robe noir dans les colonnes du quotidien l'As.
Dans son réquisitoire, le maître des poursuites, soutient que le prévenu a reconnu partiellement les faits en avouant que la fille assurait parfois ses courses. « En décembre 2016, vous avez dit que vous avez couché avec la fille une fois. Toujours devant les enquêteurs, vous avez dit que lorsque vous avez couché avec elle, elle n’avait pas perdu son hymen », s’est adressé le procureur à M. Sonko. Ainsi, le représentant du parquet reconnait Mouhamadou Sonko coupable des faits, avant de requérir une peine d’emprisonnement de 10 ans ferme.
L’affaire est mise en délibéré aujourd’hui.
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