Ce vendredi, la province d’Izmir et l’île de Samos ont été secouées par un tremblement de terre de magnitude 7, rasant notamment plusieurs immeubles. Au moins 12 personnes ont été tuées et plus de 400 blessées.
Au moins six immeubles effondrés, des artères ravagées par des torrents d’eau, et au moins 12 personnes tuées et plus de 400 blessées, selon le dernier bilan de l’agence gouvernementale des situations de catastrophe (AFAD) : un puissant séisme de magnitude 7 sur l’échelle de Richter a secoué ce vendredi l’ouest de la Turquie. La secousse, qui a été ressentie jusqu’à Istanbul et Athènes, s’est produite en mer Egée, au sud-ouest d’Izmir, troisième plus grande ville de Turquie, et près de l’île grecque de Samos, où un mini-tsunami a été détecté.
«A ce stade, nous avons reçu des informations selon lesquelles six immeubles se sont effondrés à Bornova et Bayrakli», dans la province d’Izmir, indique le ministre turc de l’Intérieur, Süleyman Soylu sur Twitter. Certains de nos concitoyens sont coincés dans les décombres», ajoute le ministre de l’Environnement, Murat Kurum, faisant état pour sa part de cinq immeubles effondrés.
Les autorités turques ont chiffré la secousse à 6,6 sur l’échelle de Richter. Selon l’USGS, elle s’est produite à une dizaine de kilomètres de profondeur.
Les télévisions turques montraient les images de nuages de poussière s’élevant dans le ciel pendant que des habitants se précipitaient dans les rues en panique. Plusieurs vidéos montrent également que l’eau de la mer Egée et du port d’Izmir se retirait à grande vitesse, laissant craindre la formation d’un tsunami.
Avec Libération
Au moins six immeubles effondrés, des artères ravagées par des torrents d’eau, et au moins 12 personnes tuées et plus de 400 blessées, selon le dernier bilan de l’agence gouvernementale des situations de catastrophe (AFAD) : un puissant séisme de magnitude 7 sur l’échelle de Richter a secoué ce vendredi l’ouest de la Turquie. La secousse, qui a été ressentie jusqu’à Istanbul et Athènes, s’est produite en mer Egée, au sud-ouest d’Izmir, troisième plus grande ville de Turquie, et près de l’île grecque de Samos, où un mini-tsunami a été détecté.
«A ce stade, nous avons reçu des informations selon lesquelles six immeubles se sont effondrés à Bornova et Bayrakli», dans la province d’Izmir, indique le ministre turc de l’Intérieur, Süleyman Soylu sur Twitter. Certains de nos concitoyens sont coincés dans les décombres», ajoute le ministre de l’Environnement, Murat Kurum, faisant état pour sa part de cinq immeubles effondrés.
Les autorités turques ont chiffré la secousse à 6,6 sur l’échelle de Richter. Selon l’USGS, elle s’est produite à une dizaine de kilomètres de profondeur.
Les télévisions turques montraient les images de nuages de poussière s’élevant dans le ciel pendant que des habitants se précipitaient dans les rues en panique. Plusieurs vidéos montrent également que l’eau de la mer Egée et du port d’Izmir se retirait à grande vitesse, laissant craindre la formation d’un tsunami.
Avec Libération
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