Neufs militants zimbabwéens des droits de l'Homme, accusés de complot, étaient toujours détenus jeudi matin malgré une décision de justice demandant mercredi soir leur transfert vers un hôpital, a-t-on appris auprès d'un de leurs avocats.
"La police n'a pas respecté la décision du tribunal", a indiqué à l'AFP un de leurs avocats Beatrice Mtetwa. "Je doute qu'elle le fasse", a-t-elle ajouté.
Jestina Mukoko, directrice de l'ONG Zimbabwe Peace Project (ZPP), deux de ses employés et six autres militants, ont été accusés mercredi d'avoir recruté ou incité des personnes pour suivre un entraînement militaire au Botswana dans le but de renverser le gouvernement du président Robert Mugabe, selon la défense.
Le tribunal a ordonné qu'ils soient transférés de leur lieu de détention dans un hôpital où ils seront sous "surveillance policière". Les neuf inculpés ont été placés en détention provisoire jusqu'au 29 décembre.
Jestina Mukoko avait été enlevée chez elle le 3 décembre par des hommes armés se présentant comme des policiers et retenue dans un lieu inconnu. L'Union européenne (UE) avait demandé sa libération le 12 décembre.
Source : France 24
"La police n'a pas respecté la décision du tribunal", a indiqué à l'AFP un de leurs avocats Beatrice Mtetwa. "Je doute qu'elle le fasse", a-t-elle ajouté.
Jestina Mukoko, directrice de l'ONG Zimbabwe Peace Project (ZPP), deux de ses employés et six autres militants, ont été accusés mercredi d'avoir recruté ou incité des personnes pour suivre un entraînement militaire au Botswana dans le but de renverser le gouvernement du président Robert Mugabe, selon la défense.
Le tribunal a ordonné qu'ils soient transférés de leur lieu de détention dans un hôpital où ils seront sous "surveillance policière". Les neuf inculpés ont été placés en détention provisoire jusqu'au 29 décembre.
Jestina Mukoko avait été enlevée chez elle le 3 décembre par des hommes armés se présentant comme des policiers et retenue dans un lieu inconnu. L'Union européenne (UE) avait demandé sa libération le 12 décembre.
Source : France 24
Autres articles
-
Côte d'Ivoire: à Abidjan, un programme aide les enfants à sortir de la rue
-
Guinée-Bissau: le chef des observateurs de l'UA appelle à publier les résultats des élections
-
Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort
-
Guinée-Bissau: la junte au pouvoir installe un Conseil national de transition
-
Mali: l'imam Dicko prend la tête d'une nouvelle coalition d'opposition non violente et clandestine




Côte d'Ivoire: à Abidjan, un programme aide les enfants à sortir de la rue


