«La violence dans le champ politique est liée à la surenchère à la veille de l’élection. Dès que les candidatures commencent à être déclarées, on sent une montée de la violence, que ce soit par la violence physique avec destruction de biens ou la violence verbale. C’est le cas à Thiès, ou à la permanence du PDS où on parle d'une voitures brûlée ». C’est la conviction de M. Bassirou Tine, Coordonnateur du Forum civile à Diourbel, qui était l’invité de notre confrère de la RFM dans son émission dominical « Remue-ménage ».
«Je pense qu’il faut trouver les motifs de cette violence dans ce que nous (NDLR : Société civile), nous appelons la surenchère politique » a dit le Coordonnateur du Forum civile à Diourbel qui estime qu’il faut y a ajouter d’autres paramètres.
C’est le cas du sentiment de l’enrichissement rapide. « Très souvent, il y a une conception au Sénégal qui consiste à penser qu’accéder au pouvoir, c’est pouvoir s’enrichir». Ce qui fait qu’il y a «des ambitions personnelles qui sont nourries à travers ces candidatures».
Aussi, la justice n’est pas épargnée dans l’analyse de M. Tine qui estime que «quand on croit que très souvent il y a l’impunité par rapport à certaines violences, que la justice ne fait pas son travail, les acteurs ont, peut-être, tendance se venger ». Ce qui cause des problèmes selon lui.
«Je pense qu’il faut trouver les motifs de cette violence dans ce que nous (NDLR : Société civile), nous appelons la surenchère politique » a dit le Coordonnateur du Forum civile à Diourbel qui estime qu’il faut y a ajouter d’autres paramètres.
C’est le cas du sentiment de l’enrichissement rapide. « Très souvent, il y a une conception au Sénégal qui consiste à penser qu’accéder au pouvoir, c’est pouvoir s’enrichir». Ce qui fait qu’il y a «des ambitions personnelles qui sont nourries à travers ces candidatures».
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