Le Secrétaire général du Cadre unitaire des enseignants du moyen-secondaire (Cusems), Abdoulaye Ndoye, a demandé des "excuses" de la part de l'ONG Human Wright Watch, qui dans son rapport publié jeudi, indique que "plus de 160 filles" sont victimes d’harcèlement à l’école de la part de leurs enseignants.
"Nous dénonçons avec la dernière énergie le contenu du rapport qui cherche à discrédité l'enseignant et cela ne passera pas. L'année dernière on avait accusé des enseignants d'avoir engrossé une dizaine de filles dans un établissement secondaire, mais en vérité, ces élèves étaient mariés", explique-t-il au micro de Zik Fm.
Abdoulaye Ndoye a affirmé que ce rapport n'est basé sur "aucune étude scientifique" et que ce sont des "avis personnels" qu'on a voulu publier et généraliser. Il a demandé à Human Wright Watch de "retirer" ce rapport et de "présenter des excuses" à l'ensemble du corps enseignant.
"Nous dénonçons avec la dernière énergie le contenu du rapport qui cherche à discrédité l'enseignant et cela ne passera pas. L'année dernière on avait accusé des enseignants d'avoir engrossé une dizaine de filles dans un établissement secondaire, mais en vérité, ces élèves étaient mariés", explique-t-il au micro de Zik Fm.
Abdoulaye Ndoye a affirmé que ce rapport n'est basé sur "aucune étude scientifique" et que ce sont des "avis personnels" qu'on a voulu publier et généraliser. Il a demandé à Human Wright Watch de "retirer" ce rapport et de "présenter des excuses" à l'ensemble du corps enseignant.
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