« J’ai été très troublée par le fait qu’on dise que j’allais mettre les clefs sous la porte. C’est impossible pour moi de mettre les clefs sous la porte. Etant donné que j’ai travaillé pendant douze ans dans cette région. Je peux vous citer un exemple, autrefois lorsque j’arrivais à Ninéfésha, les populations locales me disaient « Ah, tu viens du Sénégal ». Quand je repartais, on me disait « tu repars au Sénégal ». Et je leur disais qu’ils étaient sénégalais mais ils n’y croyaient pas », assène l’épouse du président sortant qui ne manque pas d’apporter des précisions.
« Il faut que la population sénégalaise soit bien informée…Mais vouloir faire croire que Mme Wade se venge de je ne sais qui. Non je ne me venge pas. On ne peut pas se venger de quelque chose qui était pendant douze ans, votre vie ».
« Je suis obligée étant donné mon âge de remettre l’hôpital Ninéfésha entre les mains du ministre de la santé », souligne l’ex-première dame qui va incessamment remettre les clefs de l’hôpital au ministre de la santé Eva Marie Coll Seck qu’elle a saisi hier mardi, lâche-t-elle sur les colonnes du journal « Walfadjri » où Viviane Wade ne manque pas de livrer que si cette dernière le lui permet bien, « je pourrais y amener des Fondations avec des chirurgiens et dans la logique de mes moyens ou les circonstances faire quelque chose pour eux mais je ne peux plus diriger".
« Il faut que la population sénégalaise soit bien informée…Mais vouloir faire croire que Mme Wade se venge de je ne sais qui. Non je ne me venge pas. On ne peut pas se venger de quelque chose qui était pendant douze ans, votre vie ».
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