«Elle ne cadre même pas avec les enseignements islamiques que nous avons reçus de nos parents». Ce sont par ces propos que Youssou Touré a qualifié la sortie de Moustapha Diakhaté, chef de Cabinet du chef de l’Etat qui milite pour que Khalifa Sall boucle ses cinq (5) ans de prison entièrement. Et pour ce faire, l’ancien chef de la majorité parlementaire a proposé de supprimer tout bonnement la grâce présidentielle ainsi que l’amnistie. Des propos qui sont, à en juger le ministre-conseiller, indignes d’un croyant.
«Ce n’est pas à Moustapha Diakhaté de nous indiquer la voie. La loi est là pour tout le monde mais il faut tenir compte de certains paramètres sociaux. Nous sommes des musulmans, nous sommes des catholiques, donc, nous devons faire preuve d’esprit de dépassement. S’il ne s’agissait que du Président Macky Sall, personne ne serait en prison. C’est cela la réalité donc il faut qu’on cultive la paix», a-t-il déclaré sur Source A.
Et d’ajouter : «Que ce soit Khalifa Sall ou un autre, je ne parle même pas de Karim Wade, il mérite la clémence. Donc, je pense que la sortie de Moustapha Diakhaté n’est pas seulement grave, elle est gravissime. Quelqu’un qui est privé de sa liberté n’a pas besoin, que de dehors, on parle de lui en mal. Il faut laisser la justice faire correctement son travail mais aussi le pardon est Sénégalais. On doit faire preuve de retenu par rapport à ce qui se passe sur le terrain politique».
«Ce n’est pas à Moustapha Diakhaté de nous indiquer la voie. La loi est là pour tout le monde mais il faut tenir compte de certains paramètres sociaux. Nous sommes des musulmans, nous sommes des catholiques, donc, nous devons faire preuve d’esprit de dépassement. S’il ne s’agissait que du Président Macky Sall, personne ne serait en prison. C’est cela la réalité donc il faut qu’on cultive la paix», a-t-il déclaré sur Source A.
Et d’ajouter : «Que ce soit Khalifa Sall ou un autre, je ne parle même pas de Karim Wade, il mérite la clémence. Donc, je pense que la sortie de Moustapha Diakhaté n’est pas seulement grave, elle est gravissime. Quelqu’un qui est privé de sa liberté n’a pas besoin, que de dehors, on parle de lui en mal. Il faut laisser la justice faire correctement son travail mais aussi le pardon est Sénégalais. On doit faire preuve de retenu par rapport à ce qui se passe sur le terrain politique».
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