L’opposition malienne demande au président IBK de consulter la classe politique locale, les forces vives, avec pour objectif de dégager une plateforme et une vision nationale avant d’engager des discussions avec les groupes armés du nord du Mali. C’est en principe avant la fin de ce mois que les pourparlers commenceront en Algérie.
Sur le choix de ce pays voisin, sur le choix d’autres pays qui jouent aux facilitateurs pour le règlement de la crise, les opposants du régime malien ont un message : « nous invitons les pays frères et amis, à éviter toute précipitation susceptible de compromettre l’avenir ». En clair, c’est une crise malienne, et le dialogue intermalien doit être la clé de voûte pour résoudre la question.
Côté majorité présidentielle, on explique que d’une manière ou d’une autre, sur le dossier des négociations, l’opposition sera associée à l’élaboration de la stratégie nationale. On affirme également que contrairement à ce qu’affirme l’opposition malienne, sur le dossier du Nord, l’Etat à une vision. Il s’agit de faire la paix avec les groupes armés du Nord, d’aller rapidement vers les pourparlers, très rapidement. De faire des concessions. « Vous verrez, un coup d’accélérateur sera très bientôt donné au processus de négociations », résume ainsi un ministre malien.
Source : Rfi.fr
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