Le député de l'opposition comparait pour trahison.
Les choses vont vite dans l'affaire Bobi Wine, du nom du député de l'opposition ougandaise détenu depuis plus d'une semaine par l'armée.
Le tribunal militaire a abandonné les charges de possession illégale d'armes à feu qui pesaient contre Robert Kyagulanyi alias Bobi Wine.
Mais aussitôt libéré qu'il a de nouveau été arrêté. Bobi Wine comparaît devant un tribunal civil peu après sa libération du tribunal militaire de Gulu, dans le nord du pays.
Le député n'est donc pas au bout de ses peines car il comparait devant un tribunal civil mais cette fois ci pour trahison.
Les avocats de l'armée ont déclaré que Bobi Wine et les autres parlementaires en détention seront au main de la police pour faire face aux accusations portées contre eux devant le tribunal civil.
L'avocat de Bobi Wine, Medard Segona, s'est opposé à ce que son client soit remis à la police pour faire face à de nouvelles accusations.
Il a exigé que son client soit libéré immédiatement afin de recevoir un traitement médical approprié : sa requête n'a visiblement pas été acceptée.
Bobi Wine a été arrêté suite aux violences qui ont éclaté lors de la campagne électorale partielle dans la ville d'Arua, dans le nord-est de l'Ouganda.
Sa famille et ses avocats ont déclaré qu'il ne se portait pas bien. Son état de santé se serait dégradé après avoir été battu et torturé.
Des accusations qui ont été rejetées par l'armée ougandaise et le président Yoweri Museveni.
D'autres heurts ont été signalés dans tout le pays et certains députés ainsi que plus de 30 partisans de l'opposition ont été arrêtés.
Ils sont tous en détention depuis plus d'une semaine. La police s'est déployée et a bouclé les domiciles de plusieurs leaders de l'opposition.
La police a déclaré que son déploiement était une mesure préventive, basée sur des renseignements selon lesquels certains politiciens allaient organiser des manifestations et attaquer des sites ou dispositifs des services de sécurité.
Les choses vont vite dans l'affaire Bobi Wine, du nom du député de l'opposition ougandaise détenu depuis plus d'une semaine par l'armée.
Le tribunal militaire a abandonné les charges de possession illégale d'armes à feu qui pesaient contre Robert Kyagulanyi alias Bobi Wine.
Mais aussitôt libéré qu'il a de nouveau été arrêté. Bobi Wine comparaît devant un tribunal civil peu après sa libération du tribunal militaire de Gulu, dans le nord du pays.
Le député n'est donc pas au bout de ses peines car il comparait devant un tribunal civil mais cette fois ci pour trahison.
Les avocats de l'armée ont déclaré que Bobi Wine et les autres parlementaires en détention seront au main de la police pour faire face aux accusations portées contre eux devant le tribunal civil.
L'avocat de Bobi Wine, Medard Segona, s'est opposé à ce que son client soit remis à la police pour faire face à de nouvelles accusations.
Il a exigé que son client soit libéré immédiatement afin de recevoir un traitement médical approprié : sa requête n'a visiblement pas été acceptée.
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