Le mois précédent a été le plus sinistre au Sénégal depuis le début de l'épidémie de Covid-19 avec plus de 60 décès enregistrés du 15 au 30 juin. Une moyenne de décès par jour qui a tourné autour de 3,4. Mais il est fort possible qu'il soit tragiquement détrôné par ce mois de juillet, qui en quatre jours seulement a vu dix-sept (17) Sénégalais emportés par la Covid-19.
En effet, du 1er juillet à ce 04 juillet, les services du ministère de la Santé et de l'Action sociale ont annoncé au moins quatre décès dans chacun de leurs points quotidien sur la situation de l'épidémie de Covid-19 au Sénégal.
Les cas graves flambent gravement... les décès aussi
Le mercredi 1er juillet 2020, le Sénégal enregistre pour la première fois 35 patients dans ses services de Réanimation et 04 nouveaux décès. Le lendemain, 02 juillet, les chiffres du ministère de la Santé affichent 36 patients dans un état grave et 05 nouveaux décès.
Le vendredi 03 juillet, les services de Réanimation affichent 38 cas graves, avec également 04 Nouveaux décès. Ce samedi, le record de cas graves enregistrés est encore battu avec 42 patients admis en Réanimation. On annonce également 04 Nouveaux décès.
En moyenne, 4,25 Sénégalais meurent par jour de la Covid-19 depuis le mercredi 1er juillet 2020. Cela est sans nul doute entraîné par la flambée dangereuse des cas graves. Le Docteur Bousso et le Professeur Seydi avaient averti. Plus il y aura de cas positifs, plus il y aura de cas graves et plus il y aura de cas graves, plus il y aura de décès. Puisque les structures sanitaires sénégalaises ne peuvent pas accueillir une vague de cas graves.
Le Docteur Mansour Diouf a révélé cette semaine que le Sénégal ne dispose pas de 50 lits chauds pour accueillir un plus grand nombre de malades en réanimation.
Plus de 131 morts attendus d'ici le 31 juillet 2020, si la moyenne de décès par jour ne chute pas d'ici-là. A ce jour, le Sénégal compte 2429 malades sous traitements dont 42 dans un état grave... Et 129 personnes décédées de la Covid-19.
En effet, du 1er juillet à ce 04 juillet, les services du ministère de la Santé et de l'Action sociale ont annoncé au moins quatre décès dans chacun de leurs points quotidien sur la situation de l'épidémie de Covid-19 au Sénégal.
Les cas graves flambent gravement... les décès aussi
Le mercredi 1er juillet 2020, le Sénégal enregistre pour la première fois 35 patients dans ses services de Réanimation et 04 nouveaux décès. Le lendemain, 02 juillet, les chiffres du ministère de la Santé affichent 36 patients dans un état grave et 05 nouveaux décès.
Le vendredi 03 juillet, les services de Réanimation affichent 38 cas graves, avec également 04 Nouveaux décès. Ce samedi, le record de cas graves enregistrés est encore battu avec 42 patients admis en Réanimation. On annonce également 04 Nouveaux décès.
En moyenne, 4,25 Sénégalais meurent par jour de la Covid-19 depuis le mercredi 1er juillet 2020. Cela est sans nul doute entraîné par la flambée dangereuse des cas graves. Le Docteur Bousso et le Professeur Seydi avaient averti. Plus il y aura de cas positifs, plus il y aura de cas graves et plus il y aura de cas graves, plus il y aura de décès. Puisque les structures sanitaires sénégalaises ne peuvent pas accueillir une vague de cas graves.
Le Docteur Mansour Diouf a révélé cette semaine que le Sénégal ne dispose pas de 50 lits chauds pour accueillir un plus grand nombre de malades en réanimation.
Plus de 131 morts attendus d'ici le 31 juillet 2020, si la moyenne de décès par jour ne chute pas d'ici-là. A ce jour, le Sénégal compte 2429 malades sous traitements dont 42 dans un état grave... Et 129 personnes décédées de la Covid-19.
Autres articles
-
Mort de Seydina Mouhamed Diop : la police livre sa version des faits
-
« Il y a eu sous Macky Sall une politisation à outrance judiciaire » Abdoulaye Ndiogou
-
Bus DDD incendié à Pikine : les travailleurs condamnent et réclament des poursuites judiciaires contre les auteurs
-
Affaire de l’Attentat du Bus à Yarakh, « c’est une farce » selon Abdoulaye Ndiogou
-
Jeune tué à Pikine : des organisations de défense des Droits de l’homme exigent l’ouverture d’une enquête