Les pêcheurs saint-louisiens disposant de licences de la Mauritanie peuvent désormais pêcher en toute tranquillité dans les eaux de ce pays voisin, sans aucune inquiétude. Ils ont bénéficié d’une prorogation de leur licence de six mois supplémentaires. Celles-ci leur avaient été octroyées le 10 mars dernier, pour une durée de deux mois. Auparavant, ces pécheurs avaient vécu une longue période de chômage technique.
Mais par cette décision des autorités de Nouakchott, ils peuvent continuer leur travail pour trois mois encore. Certains observateurs se demandent si cette mesure est vraiment une solution fiable. Dans un document adressé au secrétaire général du ministère de la Pêche et des Affaires maritime du Sénégal, la partie mauritanienne précise que « les embarcations sénégalaises présentes dans les eaux mauritaniennes seront, pendant cette prorogation, autorisées à pêcher conformément aux lois en vigueur et sous réserve de s’acquitter de toutes les obligations y afférentes », selon le quotidien national « Le Soleil ».
La Mauritanie a invité les services compétents sénégalais à se rapprocher de son administration pour le règlement de la redevance forfaitaire devant permettre l’exercice de la pêche dans ses eaux maritimes, conformément aux dispositions du protocole d’accord. Le document précise également qu’ « à l’issue des deux premiers mois, des négociations devront être entamées pour la signature d’une nouvelle convention en matière de pêche ».
Avec cette prorogation, les obligations des pêcheurs restent le respect du débarquement de 15 % des prises en Mauritanie, ce qui se chiffre à dix jours de débarquement obligatoire, selon la même source.
Mais par cette décision des autorités de Nouakchott, ils peuvent continuer leur travail pour trois mois encore. Certains observateurs se demandent si cette mesure est vraiment une solution fiable. Dans un document adressé au secrétaire général du ministère de la Pêche et des Affaires maritime du Sénégal, la partie mauritanienne précise que « les embarcations sénégalaises présentes dans les eaux mauritaniennes seront, pendant cette prorogation, autorisées à pêcher conformément aux lois en vigueur et sous réserve de s’acquitter de toutes les obligations y afférentes », selon le quotidien national « Le Soleil ».
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