Le ministère de la Justice a réagi par un communiqué aux regrettables événements survenus hier lors de l'ouverture de la campagne électorale pour les législatives. De vives confrontations ont opposé, le dimanche 27, les partisans d'Abass Fall et ceux de la coalition Samm Sa Kaddu à Mezmoz-Sacré-Cœur. Ces heurts, ayant entraîné le saccage et l'incendie du siège de la coalition de Barthélemy et ses compagnons, ont suscité indignation et inquiétude.
Dans sa déclaration, le ministère de la Justice a fait état des mesures à prendre suite à ces incidents. "Dans le cadre de la campagne pour les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024, des agissements et propos susceptibles de revêtir une qualification pénale ont été constatés, exposant leurs auteurs à des poursuites. À cet effet, des enquêtes sont en cours pour établir les responsabilités concernant les faits survenus en ce début de campagne dans le département de Dakar", a indiqué le service d'Ousmane Diagne, ministre de la Justice.
En conclusion, le ministère a appelé à "un respect strict des lois et règlements en vigueur" et a invité tous les acteurs à s'abstenir d'actes ou de déclarations susceptibles de troubler l'ordre public. Cette réaction s'aligne avec la volonté de Thierno Bocoum, membre de la coalition Samm Sa Kaddu, qui, dans un post sur sa page Facebook, avait exprimé son regret face au silence des autorités.
Dans sa déclaration, le ministère de la Justice a fait état des mesures à prendre suite à ces incidents. "Dans le cadre de la campagne pour les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024, des agissements et propos susceptibles de revêtir une qualification pénale ont été constatés, exposant leurs auteurs à des poursuites. À cet effet, des enquêtes sont en cours pour établir les responsabilités concernant les faits survenus en ce début de campagne dans le département de Dakar", a indiqué le service d'Ousmane Diagne, ministre de la Justice.
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