La capitale Sénégalaise a abrité ce jour une rencontre de haut niveau sur les « villes plus sûres », en utilisant des technologiques de pointes présentées par une délégation de Motorola Solutions. Cela en présence d’autorités et d’experts internationaux et Sénégalais. Parmi eux le directeur général de l’Agence nationale d’Assistance à la Sécurité de proximité, Michael Ohayon, Directeur de Ventes de Motorola Sénégal, Peter Goulding, spécialiste en chef de la sécurité publique chez Motorola Solutions et ancien responsable de la police métropolitaine de Londres entre autres.
Les nouvelles technologies révolutionnent la collecte de et l’analyse des données recueillies sur le terrain, et fournissent des outils intelligences sophistiqués pour les transformer en informations que les forces de l’ordre peuvent utiliser. L’adoption de telle technologies, selon les experts, peut placer n’importe quelle ville dans la liste des villes les plus sûres au monde en temps réel. Pour le cas du Sénégal, « en tant que pays visant à booster son économie et à doubler son taux de croissance d’ici 2017, il est important de se rappeler que la croissance doit être maintenue par la sécurité. Des villes plus sûres constituent un préalable à des économies et communautés prospères, qui sont les objectifs du Plan Sénégal Émergent (PSE) », a souligné BOAZ Or-Shraga.
Par ailleurs Peter Goulding, spécialiste en charge de la sécurité publique, a indiqué que « les données sont les facteurs clé de l’amélioration de la sécurité publique, les utiliser de manière intelligent est un facteur primordial pour des villes plus sûres ».
Les enjeux de la sécurité : politiques, économiques (l’insécurité) constitue un frein à la croissance, sociaux (sécurité des personnes), environnementaux (inondations…). Sont autant de problèmes auxquels les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) peuvent apporter des moyens techniques. Ex : radios « intelligentes », voitures connectées avec système de reconnaissance des plaques minéralogiques, capteurs pour alertes, logiciels d’aide à la prise de décision…
Les nouvelles technologies révolutionnent la collecte de et l’analyse des données recueillies sur le terrain, et fournissent des outils intelligences sophistiqués pour les transformer en informations que les forces de l’ordre peuvent utiliser. L’adoption de telle technologies, selon les experts, peut placer n’importe quelle ville dans la liste des villes les plus sûres au monde en temps réel. Pour le cas du Sénégal, « en tant que pays visant à booster son économie et à doubler son taux de croissance d’ici 2017, il est important de se rappeler que la croissance doit être maintenue par la sécurité. Des villes plus sûres constituent un préalable à des économies et communautés prospères, qui sont les objectifs du Plan Sénégal Émergent (PSE) », a souligné BOAZ Or-Shraga.
Par ailleurs Peter Goulding, spécialiste en charge de la sécurité publique, a indiqué que « les données sont les facteurs clé de l’amélioration de la sécurité publique, les utiliser de manière intelligent est un facteur primordial pour des villes plus sûres ».
Les enjeux de la sécurité : politiques, économiques (l’insécurité) constitue un frein à la croissance, sociaux (sécurité des personnes), environnementaux (inondations…). Sont autant de problèmes auxquels les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) peuvent apporter des moyens techniques. Ex : radios « intelligentes », voitures connectées avec système de reconnaissance des plaques minéralogiques, capteurs pour alertes, logiciels d’aide à la prise de décision…
Autres articles
-
Tour international de la Casamance : l’initiateur plaide pour sortir le sud du Sénégal de la zone rouge sur internet
-
4ᵉ opération d’Appel Public à l’Épargne : le Sénégal veut mobiliser 400 milliards FCFA
-
Jeux Olympiques de la Jeunesse 2026 : le COJOJ en mission de sensibilisation à Kolda
-
Distribution de l'eau : SEN’EAU et SENELEC annoncent des perturbations ce samedi
-
Sénégal : le FMI annonce des progrès pour un nouveau programme de prêts et enquête sur les dettes non déclarées




Tour international de la Casamance : l’initiateur plaide pour sortir le sud du Sénégal de la zone rouge sur internet


