La volonté du gouvernement de réorienter les nouveaux bacheliers non-orientés dans les Universités publiques dans l’enseignement privé est une mauvaise option pour le Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (SAES). Il invite plutôt l’Etat à mettre cinq (5) ou sept (7) milliards de francs dans le public au lieu d’enrichir des promoteurs privés.
En effet, dans une lettre adressée aux Sénégalais, le SAES indique que ces titulaires du premier grade de l’université «ont droit à une égalité des chances d’accès à l’enseignement supérieur, à un projet pédagogique viable porté par un corps professoral de qualité académique».
Mieux, les enseignants proposant une solution alternative, demandent la réquisition des salles disponibles dans les villes et utilisables immédiatement telles que CICES, Grand Théâtre, Place du Souvenir,… pour abriter les formations publiques et respecter le point d’accord relatif au recrutement d’enseignants à partir de conversion des heures complémentaires.
Autres articles
-
Orpaillage clandestin : la Gendarmerie démantèle trois sites et saisit un important lot de matériels à Saraya
-
Santé oculaire : près de 165.000 aveugles et plus de 550.000 malvoyants recensés au Sénégal
-
Cybercriminalité dans l’industrie pétrolière et gazière : Ces menaces qui pèsent sur le Sénégal
-
Nécrologie : décès de Birahim Ndiaye, ancien champion de lutte
-
Administration pénitentiaire : 418 agents annoncés au recrutement en 2026




Orpaillage clandestin : la Gendarmerie démantèle trois sites et saisit un important lot de matériels à Saraya


