Le discours du candidat Abdoulaye Wade à Matam n’a pas fait bon accueil chez les émigrés du Fouta. A Matam, dans le village de Bokki Diawé, tous les édifices semblent porter le nom des émigrés. « Nous les fils de Bokki Diawé, grâce à Kalidou Wagué qui est une fierté pour ce village, si Wade était passé sur le goudron, à 200 mètres, il va voir une école franco-arabe de deux étages construite là-bas par les émigrés », a répliqué Baba Diawara qui ajoute que « notre poste de santé, l’ambulance, les matériels, l’équipement et un autre hôpital qui est en train d’être construit et qu’Abdoulaye Wade ne connait même pas » sont l’œuvre des émigrés du Fouta.
Ces populations qui assimilent le discours du candidat Abdoulaye Wade à un faux jugement rouspètent sur les ondes de la RFM que « c’est lui qui n’a rien fait à Fouta et que tout le monde est mécontent de lui et de ses ministres ». Soutenant qu’ils possèdent les moyens de construire par eux-mêmes leurs villages, les émigrés de la région de Matam envisagent de démontrer leur puissance, en battant le candidat des FAL 2012 à la présidentielle.
Ces populations qui assimilent le discours du candidat Abdoulaye Wade à un faux jugement rouspètent sur les ondes de la RFM que « c’est lui qui n’a rien fait à Fouta et que tout le monde est mécontent de lui et de ses ministres ». Soutenant qu’ils possèdent les moyens de construire par eux-mêmes leurs villages, les émigrés de la région de Matam envisagent de démontrer leur puissance, en battant le candidat des FAL 2012 à la présidentielle.
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