Le leader de l’Union des Centristes du Sénégal (UCS) est formel. Il ne transigera jamais dans le cadre de la traque des biens mal acquis. Selon Abdoulaye Baldé, accepter de transiger c’est reconnaitre qu’on est voleur. Considérant l’obéissance à cette proposition de l’Etat comme une signature de mort politique, l’ancien ministre de l’Industrie et des Mines ne voit « rien de juridique et de législatif » sur cette médiation pénale.
« Je ne vois pas quelqu’un qui sera d’accord de s’aventurer à aller faire une médiation pénale. Il faut d’abord prouver la culpabilité des gens. Et si la culpabilité existe, qu’on applique la loi dans toute sa rigueur », plaide Abdoulaye Baldé qui, dans les colonnes de « L’As », assimile la communication gouvernementale à une « cacophonie », s’indignant des avis discordants du porte-parole du gouvernement, Abdou Latif Coulibaly et de la ministre de la Justice, Aminata Touré.
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