Le jardin public de Mbour est devenu le lieu de prédilection des homosexuels, qui y font du racolage, la journée comme la nuit. Il est devenu un dépotoir d’ordures, un urinoir, un lieu de dévergondage, de beuverie pour les délinquants de tout acabit. A certaines heures de la nuit, s’y aventurer constitue un risque réel.
En fin de semaine dernière 5 homosexuels, assis sur les bancs, se mettent à discuter à haut voix. L’un d’eux un certain Mamadou Niang, originaire de Guédiéwaye, qui semble être le chef de la bande, mène des débats et devenue de plus en plus agressif vis as vis des autres. Rapidement, cela devient une bataille rangée, obligeant l’un d’eux, très mal en point, d’aller régler le problème à la police. Ensemble ils se rendent sur les lieux pour s’expliquer. Mamadou Niang le premier à prendre la parole accuse son ami de ne pas respecter l’accord selon lequel, il lui a payé un téléphone portable pour entretenir des relations sexuelles avec lui. Et c’est ainsi qu’ils vont commencer à faire des déballages, en accusant Mamadou Niang d’avoir volé le portable qu’il a offert et qui semble insuffisant pour une partie de plaisir.
Selon le journal « L’Observateur », ils ont tous été gardés à vue et déférés au parquet de Thiès pour trouble à l’ordre public et tentative d’actes contre-nature.
En fin de semaine dernière 5 homosexuels, assis sur les bancs, se mettent à discuter à haut voix. L’un d’eux un certain Mamadou Niang, originaire de Guédiéwaye, qui semble être le chef de la bande, mène des débats et devenue de plus en plus agressif vis as vis des autres. Rapidement, cela devient une bataille rangée, obligeant l’un d’eux, très mal en point, d’aller régler le problème à la police. Ensemble ils se rendent sur les lieux pour s’expliquer. Mamadou Niang le premier à prendre la parole accuse son ami de ne pas respecter l’accord selon lequel, il lui a payé un téléphone portable pour entretenir des relations sexuelles avec lui. Et c’est ainsi qu’ils vont commencer à faire des déballages, en accusant Mamadou Niang d’avoir volé le portable qu’il a offert et qui semble insuffisant pour une partie de plaisir.
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