
Débouté depuis le 3 janvier 2019, par la Cour suprême, Khalifa Sall n’a toujours pas introduit sa requête de rabat d’arrêt. Son conseiller politique, Moussa Taye, explique ce qui a causé ce « retard » pendant que sur la place publique, les observateurs, professionnels du droit et autres profanes discutent encore du caractère suspensif de ce rabat d’arrêt.
« Pour l’instant, les avocats de Khalifa Sall attendent de recevoir la notification de l’arret de la Cour suprême. Khalifa Sall dispose d’un délai légal et incompressible d’un mois, à compter de la date à laquelle l’arrêt de la Cour suprême du 03 janvier lui sera notifié, pour déposer une requête en rabat d’arrêt », a indiqué Taye avant d’appeler les avocats de l’Etat à accepter le caractère suspensif de la procédure de rabat d’arrêt.
« Pour l’instant, les avocats de Khalifa Sall attendent de recevoir la notification de l’arret de la Cour suprême. Khalifa Sall dispose d’un délai légal et incompressible d’un mois, à compter de la date à laquelle l’arrêt de la Cour suprême du 03 janvier lui sera notifié, pour déposer une requête en rabat d’arrêt », a indiqué Taye avant d’appeler les avocats de l’Etat à accepter le caractère suspensif de la procédure de rabat d’arrêt.
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