Le constat dressé par les signataires de ce communiqué est sans appel : ils estiment que la présidentielle du 27 décembre constitue « un grave recul pour la démocratie », ne « saurait conférer de légitimité » au président déclaré élu et demandent son annulation.
À l’appui de leur requête ils dénoncent de « nombreuses irrégularités » ayant émaillé selon eux le scrutin : un « proportion importante de votes par dérogation », le démarrage tardif des opérations électorales, ou « l’achat de votes ».
À l’appui de leur requête ils dénoncent de « nombreuses irrégularités » ayant émaillé selon eux le scrutin : un « proportion importante de votes par dérogation », le démarrage tardif des opérations électorales, ou « l’achat de votes ».
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