"Yes we did" (Oui, nous l'avons fait), a-t-il conclu sur un tonnerre d'applaudissements, dans une allusion à son célébrissime slogan de campagne "Yes we can".
Le 44e président des Etats-Unis, qui s'apprête à céder la place à l'homme d'affaires Donald Trump, a aussi exhorté les Américains à être des acteurs du processus démocratique.
"Notre démocratie est menacée à chaque fois que nous la considérons comme acquise", a-t-il insisté, soulignant que la constitution américaine, "remarquable cadeau", n'avait aucun pouvoir en tant que telle.
"Tous ensemble, quel que soit notre parti, nous devrions nous attacher à reconstruire nos institutions démocratiques", a-t-il martelé, devant près de
20.000 personnes rassemblées au cœur de cette ville de l'Illinois (nord) où il a rencontré sa femme et où ses enfants sont nés.
Barack Obama, 55 ans, qui bénéficie, à l'heure du départ d'une solide cote de popularité, a insisté sur "le pouvoir des Américains ordinaires comme acteurs du changement".
"C'est ici que j'ai appris que le changement ne se produit que si des gens ordinaires s'impliquent, s'engagent et se rassemblent pour l'exiger. Après huit ans de présidence, j'y crois toujours !".
Le 44e président des Etats-Unis, qui s'apprête à céder la place à l'homme d'affaires Donald Trump, a aussi exhorté les Américains à être des acteurs du processus démocratique.
"Notre démocratie est menacée à chaque fois que nous la considérons comme acquise", a-t-il insisté, soulignant que la constitution américaine, "remarquable cadeau", n'avait aucun pouvoir en tant que telle.
"Tous ensemble, quel que soit notre parti, nous devrions nous attacher à reconstruire nos institutions démocratiques", a-t-il martelé, devant près de
20.000 personnes rassemblées au cœur de cette ville de l'Illinois (nord) où il a rencontré sa femme et où ses enfants sont nés.
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