Le président de la République a adressé son message à la Nation, comme il en est de tradition à chaque 3 avril, qui marque la veille de la Fête de l'indépendance. Il a parlé d'emploi, de sécurité, d'éducation, de santé, de pêche et zappé la question des parrainages sur laquelle beaucoup d'observateurs l'attendaient.
En effet, alors que l'opposition appelle à un 23 juin bis, devant l'Assemblée nationale, le jour du vote du projet de loi portant sur les parrainages des candidats à la Présidentielle, les observateurs pensent que le chef de l'Etat doit lancer un nouvel appel au dialogue pour apaiser les tensions.
Le Président de l'Assemblée nationale Moustapha Niasse, qui a senti le coup est intervenu aussitôt après le message du chef de l'Etat pour expliquer pourquoi son "allié" n'est pas intervenu sur la question. Selon lui, il serait mal venu pour le Président Macky Sall de s'exprimer sur une procédure sur le point d'être présenté aux députés. "Le président aurait anticipé dans une procédure en cours, s'il avait parlé du parrainage. Il n'était pas nécessaire que le chef de l'Etat se prononce en faveur ou non du parrainage", a-t-il expliqué au téléphone à nos confrères de la Tfm.
A moins d'un revirement de dernière minute, le Président Macky Sall n'est pas décidé à revenir en arrière sur la question des parrainages. Ce qui va entraîner inévitablement une confrontation directe avec l'opposition, réunie autour de l'Initiative pour des élections démocratiques (IED), pour préparer une forte mobilisation dans le but d'empêcher le vote de cette loi à l'Hémicycle.
En effet, alors que l'opposition appelle à un 23 juin bis, devant l'Assemblée nationale, le jour du vote du projet de loi portant sur les parrainages des candidats à la Présidentielle, les observateurs pensent que le chef de l'Etat doit lancer un nouvel appel au dialogue pour apaiser les tensions.
Le Président de l'Assemblée nationale Moustapha Niasse, qui a senti le coup est intervenu aussitôt après le message du chef de l'Etat pour expliquer pourquoi son "allié" n'est pas intervenu sur la question. Selon lui, il serait mal venu pour le Président Macky Sall de s'exprimer sur une procédure sur le point d'être présenté aux députés. "Le président aurait anticipé dans une procédure en cours, s'il avait parlé du parrainage. Il n'était pas nécessaire que le chef de l'Etat se prononce en faveur ou non du parrainage", a-t-il expliqué au téléphone à nos confrères de la Tfm.
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