Désormais réunis au sein de l’Association des parents des militaires bérets rouges disparus, tous réclament la même chose : la justice, rien que la justice. « Le président même a dit dans son discours "Nul n’est au-dessus de la loi" », affirme une membre de l’association. « Que les auteurs soient punis, parce que la Constitution de la République du Mali a écrit que dans l’article numéro 1, tout individu a droit à la vie… », poursuit une autre.
Et face aux menaces qui planeraient sur la sécurité du juge d’instruction Yaya Karembé, qui doit faire toute la lumière sur l’affaire, les parents des militaires disparus demandent à l’Etat malien de prendre ses responsabilités.
Ce lundi, les enquêteurs poursuivent leurs investigations. Les preuves s’accumulent. Une vingtaine de personnes – quasiment toutes des militaires – ont déjà été inculpées de complicité d’enlèvement, d’assassinat ou de complicité d’assassinat dans le cadre de ces affaires des militaires disparus. Ce week-end, un corps a été découvert dans un puits à Kati, près de Bamako.
Source : Rfi.fr
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