L’objectif affiché est de « chercher les moyens de renforcer la stabilité » en Libye. Une formule diplomatique pour dire « comment empêcher le chaos qui règne en Libye de nuire à ses voisins ». Les pays les plus concernés sont la Tunisie, l’Algérie et l’Egypte qui ont desfrontières communes avec les régions les plus instables de Libye, le Nord-Ouest et le Nord-Est.
Une coopération active a déjà commencé entre Alger et Le Caire dont les régimes sont proches et qui disposent d’importantes forces militaires. Ils ont dans le collimateur un ennemi commun : les islamistes libyens. Ces derniers, pour leur part, sont ouvertement hostiles au régime du maréchal al-Sissi, l’homme qui a renversé le pouvoir des Frères musulmans.
Les milices islamistes qui ont pris l’aéroport de Tripoli ont accusé l’Egypte de les avoir bombardées. Le président al-Sissi a démenti. Un président égyptien qui avait toutefois déclaré que « l’Egypte ne resterait pas les bras croisés si sa sécurité nationale était menacée ». Rappelons que des centaines de milliers d’Egyptiens travaillent en Libye.
Source : Rfi.fr
-
Les USA fustigent la détention de ses agents en Afrique du Sud
-
Coup d'État au Bénin : l'ONU met en garde contre des "réformes excluantes"
-
Nationalisation de Somair au Niger: Paris ouvre une enquête pour «vol en bande organisée»
-
CEDEAO : une délégation des Chefs d'état-major généraux des armées va séjourner en Guinée-Bissau du 19 au 23 décembre
-
Burundi: l’ONU lance un appel pour pouvoir venir en aide aux réfugiés fuyant l’est de la RDC




Les USA fustigent la détention de ses agents en Afrique du Sud


