Ils ont été arrêtés lors de récentes manifestations contre le ministre tchadien de l'enseignement supérieur et de son homologue sénégalais.
Ils sont poursuivis pour destruction de biens, outrage à autorité et violence par voies de fait.
Le procès qui a duré toute la journée s'est déroulé sous haute surveillance et n'a pas été public.
La presse et les proches des étudiants n'ont pas été admis dans la salle d'audience.
Sur les 71 étudiants, trois sont libérés au bénéfice du doute, les autres ont été condamnés à un mois de prison ferme.
Le fourgon qui les transportait est sorti du tribunal par une porte dérobée pour éviter le public qui attendait à la porte principale.
Le secrétaire exécutif de la section des Etudiants de l'Université de N'Djamena, Gali Abdel Aziz, a exclu toute reprise de cours avant la libération de ses camarades.
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