Quelque 450 participants mais des absents de marque : malgré deux ans de négociation, le FNDU et le RFD d'Ahmed Ould Daddah boycottent le dialogue. « Nous n'avons pas de regret. Le pouvoir a un agenda caché », explique Kadiata Malick Diallo, vice-présidente de l'UFP, membre de la coalition FNDU.
En ouverture du dialogue, le président Ould Abdel Aziz a de nouveau demandé à ses adversaires de participer. « Ses appels ne sont pas sincères et les conclusions de ces réunions ne nous engageront pas », réagit Kadiata Malick Diallo, qui se demande si on peut encore parler de dialogue, vu les absences enregistrées.
Quatre commissions ont été créées. Elles planchent sur le contenu des débats, avant le début des travaux lundi 3 octobre. Les deux derniers jours, les rapporteurs feront la synthèse des interventions.
Bamba Ould Daramane, lui, ne regrette pas ce coup d'envoi malgré le boycott. « On ne peut pas prendre en otage le peuple. Le résultat et la légitimité du dialogue ne se mesurent pas au nombre de participants », estime ce membre du bureau exécutif de l'UPR, le parti présidentiel. De toute façon, selon lui, le chef de l'Etat a été très clair, il ne se représentera pas.
Des partis de l'opposition dite modérée participent comme El Wiam. Pour son président Boydiel Ould Houmeid, « les absents ont toujours tort. Seul le dialogue peut régler les problèmes, pas la confrontation », dit-il avant de rappeler que les réformes constitutionnelles adoptées au dialogue, seront soumises au référendum.
Source: Rfi.fr
En ouverture du dialogue, le président Ould Abdel Aziz a de nouveau demandé à ses adversaires de participer. « Ses appels ne sont pas sincères et les conclusions de ces réunions ne nous engageront pas », réagit Kadiata Malick Diallo, qui se demande si on peut encore parler de dialogue, vu les absences enregistrées.
Quatre commissions ont été créées. Elles planchent sur le contenu des débats, avant le début des travaux lundi 3 octobre. Les deux derniers jours, les rapporteurs feront la synthèse des interventions.
Bamba Ould Daramane, lui, ne regrette pas ce coup d'envoi malgré le boycott. « On ne peut pas prendre en otage le peuple. Le résultat et la légitimité du dialogue ne se mesurent pas au nombre de participants », estime ce membre du bureau exécutif de l'UPR, le parti présidentiel. De toute façon, selon lui, le chef de l'Etat a été très clair, il ne se représentera pas.
Des partis de l'opposition dite modérée participent comme El Wiam. Pour son président Boydiel Ould Houmeid, « les absents ont toujours tort. Seul le dialogue peut régler les problèmes, pas la confrontation », dit-il avant de rappeler que les réformes constitutionnelles adoptées au dialogue, seront soumises au référendum.
Source: Rfi.fr
Autres articles
-
Au Mali, les chefs d'État de l'AES harmonisent leurs positions lors de leur deuxième sommet
-
Narcotrafic: le Maroc extrade un chef présumé de réseau, la coopération judiciaire avec la France se renforce
-
Nigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement
-
Côte d’Ivoire: ouverture du procès de l'attaque jihadiste de Kafalo en juin 2020
-
Sommet de l'AES: absence imprévue du président burkinabè Ibrahim Traoré au premier jour





Au Mali, les chefs d'État de l'AES harmonisent leurs positions lors de leur deuxième sommet


