«Il est reproché à la CPI d’être contre l’Afrique et que seuls des ressortissants africains sont poursuivis et jugés devant cette juridiction. Mais il faut rappeler que ce sont les Etats africains qui ont saisi la Cour en évoquant l’article 17 du statut», a déclaré le Président de l’assemblée des Etats Parties du Statut de Rome, Me Sidiki kaba qui faisait face à la presse .
Revenant sur le retrait des deux (2) Etats africains notamment le Burundi et l’Afrique du Sud de la CPI, Me Kaba d’expliquer que «le retrait est un acte de souveraineté qui est prévu par le statut de Rome, de même que les conditions d’adhésion». Mais, «lorsque qu’un pays dépose un acte de retrait, le statut prévoit que c’est dans un délai d’un (1) an que le retrait devient effectif», a-t-il ajouté.
Donc, poursuit-il : «il faut saisir cette opportunité pour lancer un appel au dialogue avec les Etats (Ndlr: Burundi et l’Afrique du Sud) pour trouver un consensus dynamique. Et pour cela, il faut écouter leurs incriminations, leurs appréhensions, et leurs critiques devant l’Assemblée des Etats Parties», a-t-il avancé.
A l’en croire, instance est le cadre qui est crée par le statut de Rome où «les différends Etats peuvent formuler leurs critiques, leurs observations et proposer des modifications législatives pour rendre la Cour plus efficace, plus perfectible dans l’indépendance et l’impartialité de rendre la justice».
« Chacun de ces pays a eu à jouer un rôle important dans la création de la Cour pénale internationale notamment l’Afrique du Sud qui a vaincu l’apartheid et qui a une longue tradition de lutte contre l’injustice et l’impunité», a-t-il conclût.
Revenant sur le retrait des deux (2) Etats africains notamment le Burundi et l’Afrique du Sud de la CPI, Me Kaba d’expliquer que «le retrait est un acte de souveraineté qui est prévu par le statut de Rome, de même que les conditions d’adhésion». Mais, «lorsque qu’un pays dépose un acte de retrait, le statut prévoit que c’est dans un délai d’un (1) an que le retrait devient effectif», a-t-il ajouté.
Donc, poursuit-il : «il faut saisir cette opportunité pour lancer un appel au dialogue avec les Etats (Ndlr: Burundi et l’Afrique du Sud) pour trouver un consensus dynamique. Et pour cela, il faut écouter leurs incriminations, leurs appréhensions, et leurs critiques devant l’Assemblée des Etats Parties», a-t-il avancé.
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