Les canaux à ciel ouverts, les eaux stagnantes et les odeurs nauséabondes hantent les chauffeurs et les usagers de la gare routière des bus Tata de Kaolack. Indisposés par la situation, ils dénoncent le silence des autorités locales.
« La situation est récurrente. Nous cohabitons avec ces eaux depuis plus de 15 jours, aucune solution n’a été trouvée ni par les autorités administratives, ni par les autorités municipales. Nous lançons un appel au premier magistrat de la République Serigne Mboup pour venir constater ce qui se passe et de régler cette question de façon définitive », martèle Babacar Sarr leur porte-parole.
Poursuivant ses propos, M. Sarr soutient que la proposition de l'Office National de l'Assainissement du Sénégal (ONAS) n’est pas la bonne solution. « Ce que la ONAS est entrain de nous proposer, n’est pas une solution durable. Curer les égouts et repartir le lendemain le problème survient. Nous voulons des solutions durables pour que cette situation puisse être définitivement réglée, car les riverains, les clients, les chauffeurs de taxi, et des tatas sont tous fatigués. Nous ne sommes pas en période d’hivernage. S’il y a des eaux qui stagnent, cela veut dire que ce sont les eaux des forces septiques », dit-il.
Il appelle les autorités à respecter les populations : « l’accès est difficile, les clients tombent dans les égouts les canaux ne sont pas couvert. Les moustiques ont fait leur apparition et les gens sont confrontés à un problème de santé, de déplacement de stationnement. Il faut que les autorités commencent à respecter la population. Ils doivent savoir qu’ils sont là pour la population, si non ils n’ont qu’a partir et laissez la place à d’autres gens qui pourrons facilement régler cette situation », livre Walf radio.
« La situation est récurrente. Nous cohabitons avec ces eaux depuis plus de 15 jours, aucune solution n’a été trouvée ni par les autorités administratives, ni par les autorités municipales. Nous lançons un appel au premier magistrat de la République Serigne Mboup pour venir constater ce qui se passe et de régler cette question de façon définitive », martèle Babacar Sarr leur porte-parole.
Poursuivant ses propos, M. Sarr soutient que la proposition de l'Office National de l'Assainissement du Sénégal (ONAS) n’est pas la bonne solution. « Ce que la ONAS est entrain de nous proposer, n’est pas une solution durable. Curer les égouts et repartir le lendemain le problème survient. Nous voulons des solutions durables pour que cette situation puisse être définitivement réglée, car les riverains, les clients, les chauffeurs de taxi, et des tatas sont tous fatigués. Nous ne sommes pas en période d’hivernage. S’il y a des eaux qui stagnent, cela veut dire que ce sont les eaux des forces septiques », dit-il.
Il appelle les autorités à respecter les populations : « l’accès est difficile, les clients tombent dans les égouts les canaux ne sont pas couvert. Les moustiques ont fait leur apparition et les gens sont confrontés à un problème de santé, de déplacement de stationnement. Il faut que les autorités commencent à respecter la population. Ils doivent savoir qu’ils sont là pour la population, si non ils n’ont qu’a partir et laissez la place à d’autres gens qui pourrons facilement régler cette situation », livre Walf radio.
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