Dans cette période de troubles, le gouvernement affirme que le dialogue reste ouvert. Ahmat Mahamat Bachir, ministre de la Sécurité publique et de l'administration du territoire a répondu aux questions de RFI : « La grève c'est un droit mais nous avons une loi qui règlemente cette grève-là. Donc nous allons appliquer la loi », estime-t-il.
RFI: Donc ça signifie que si la grève n'est pas finie dans trois jours, les syndicats devront payer les jours non travaillés ?
« Sans nul doute. Nous disons que le gouvernement est ouvert au dialogue. Nous allons continuer à dialoguer jusqu'à ce que nous trouvions des solutions idoines. Puisqu'il y a un comité national de dialogue qui est là sous l'autorité du ministre de la Fonction publique, les pourparlers continuent. Tout dépendra de l'esprit des uns et des autres. Nous sommes ouverts au dialogue, très ouverts au dialogue même. Et je pense qu'avec le dialogue on trouvera des solutions. Nous sommes optimistes par rapport à la suite qui sera reservée à nos divergences », conclut le ministre.
RFI: Donc ça signifie que si la grève n'est pas finie dans trois jours, les syndicats devront payer les jours non travaillés ?
« Sans nul doute. Nous disons que le gouvernement est ouvert au dialogue. Nous allons continuer à dialoguer jusqu'à ce que nous trouvions des solutions idoines. Puisqu'il y a un comité national de dialogue qui est là sous l'autorité du ministre de la Fonction publique, les pourparlers continuent. Tout dépendra de l'esprit des uns et des autres. Nous sommes ouverts au dialogue, très ouverts au dialogue même. Et je pense qu'avec le dialogue on trouvera des solutions. Nous sommes optimistes par rapport à la suite qui sera reservée à nos divergences », conclut le ministre.
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