Les populations de Sikeur Wolof ont manifesté leur colère pour exiger la réfection de la route qui relie leur village à un autre, complètement dégradée. Arborant de brassard rouge et muni de pancartes, elles ont également déploré l’absence d’électricité dans leur localité.
«La route latérite est dans un état de dégradation très avancé. Les populations vivent la croix et la bannière pour rallier la route nationale surtout en période d’hivernage. Une chose que nous ne pouvons comprendre ni accepter », dénonce Baye Cheikh Diouf porte-parole du jour.
En effet, selon ces villageois, une enveloppe de cinq (5) millions de F CFA a été dégagée dans les budgets de 2018 et 2019 par la municipalité de Keur Mbouki, pour réceptionner la route. Et depuis lors deux (2) ans rien n’est fait. « Alors que l’argent a été belle et bien décaissé. Nous n’en pouvons plus. Nous exigeons la réfection du tronçon », exige M. Diouf.
Sikeur Wolof souffre aussi d’un manque d’électrification note M. Diouf au micro d’iRadio. « Outre le problème de la piste, Sikeur Wolof réclame son électrification. Nous sommes à moins de 5 Km de la haute tension. De la RN1 à la route de Nioro il y a plus de 50 villages, aucun n’a été électrifié. Nous interpellons les autorités au plus haut sommet de l’Etat, sur la gestion nébuleuse de la commue de Keur Mbouky », dit-il.
Les populations ne comptent pas baisser les bras, et se disent prêtes à aller jusqu’au bout de leur combat tant que « les 5 millions votés et décaissés, ne rentrent pas dans son objectif initial qui est de réfectionner cette piste ».
«La route latérite est dans un état de dégradation très avancé. Les populations vivent la croix et la bannière pour rallier la route nationale surtout en période d’hivernage. Une chose que nous ne pouvons comprendre ni accepter », dénonce Baye Cheikh Diouf porte-parole du jour.
En effet, selon ces villageois, une enveloppe de cinq (5) millions de F CFA a été dégagée dans les budgets de 2018 et 2019 par la municipalité de Keur Mbouki, pour réceptionner la route. Et depuis lors deux (2) ans rien n’est fait. « Alors que l’argent a été belle et bien décaissé. Nous n’en pouvons plus. Nous exigeons la réfection du tronçon », exige M. Diouf.
Sikeur Wolof souffre aussi d’un manque d’électrification note M. Diouf au micro d’iRadio. « Outre le problème de la piste, Sikeur Wolof réclame son électrification. Nous sommes à moins de 5 Km de la haute tension. De la RN1 à la route de Nioro il y a plus de 50 villages, aucun n’a été électrifié. Nous interpellons les autorités au plus haut sommet de l’Etat, sur la gestion nébuleuse de la commue de Keur Mbouky », dit-il.
Les populations ne comptent pas baisser les bras, et se disent prêtes à aller jusqu’au bout de leur combat tant que « les 5 millions votés et décaissés, ne rentrent pas dans son objectif initial qui est de réfectionner cette piste ».
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