« Dîner à Nairobi et petit-déjeuner à New York. » C'est le mantra de cette nouvelle ligne aérienne. Kenya Airways lance une liaison directe avec l'aéroport JFK, à bord de son Boeing 787 Dreamliner et ses 234 places.
Ce vol dit ultra long-courrier durera une quinzaine d'heures, soit cinq à six heures de moins que chez les concurrents qui offrent tous des escales. Ce Nairobi-New York s'annonce donc comme une puissante arme commerciale.
Après des améliorations sécuritaires à l'aéroport Jomo Kenyatta, le hub kényan a enfin obtenu, il y a un an, une précieuse certification de l'aviation civile américaine. Il en restera une autre à décrocher avant le vol inaugural.
La compagnie parle d'un produit unique visant la clientèle d'affaires et le tourisme de luxe. « Nairobi compte une quarantaine de multinationales américaines. Le trafic vers les Etats-Unis a augmenté de 40% en deux ans. Les Américains sont devenus les premiers touristes au Kenya. Donc nous sommes très confiants », indique Vincent Coste, directeur commercial.
L'entreprise espère 90% de remplissage au bout d'un an et faire de cette nouvelle ligne un produit stratégique représentant à terme 10% de ses revenus. Une bouffée d'air frais pour Kenya Airways qui vient de subir une lourde restructuration de ses 267 millions de dollars de dette. « Cette ligne est une étape pour nous remettre à flot », résume Vincent Coste.
L'aller-retour Nairobi-New York sans escale sera proposé à un prix minimum de 869 dollars.
Ce vol dit ultra long-courrier durera une quinzaine d'heures, soit cinq à six heures de moins que chez les concurrents qui offrent tous des escales. Ce Nairobi-New York s'annonce donc comme une puissante arme commerciale.
Après des améliorations sécuritaires à l'aéroport Jomo Kenyatta, le hub kényan a enfin obtenu, il y a un an, une précieuse certification de l'aviation civile américaine. Il en restera une autre à décrocher avant le vol inaugural.
La compagnie parle d'un produit unique visant la clientèle d'affaires et le tourisme de luxe. « Nairobi compte une quarantaine de multinationales américaines. Le trafic vers les Etats-Unis a augmenté de 40% en deux ans. Les Américains sont devenus les premiers touristes au Kenya. Donc nous sommes très confiants », indique Vincent Coste, directeur commercial.
L'entreprise espère 90% de remplissage au bout d'un an et faire de cette nouvelle ligne un produit stratégique représentant à terme 10% de ses revenus. Une bouffée d'air frais pour Kenya Airways qui vient de subir une lourde restructuration de ses 267 millions de dollars de dette. « Cette ligne est une étape pour nous remettre à flot », résume Vincent Coste.
L'aller-retour Nairobi-New York sans escale sera proposé à un prix minimum de 869 dollars.
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