avec notre correspondante à Rangoun, Eliza Hunt
Le retour des réfugiés en Birmanie devait normalement commencer la semaine prochaine. Mais respecter cette date sera impossible, annonce-t-on du côté du Bangladesh, sans préciser quand ces retours vont débuter.
Ce qui va pouvoir être possible dans les prochains jours, c’est l’enregistrement des réfugiés qui veulent rentrer chez eux. Pendant cette rencontre dans la capitale birmane, les deux pays ont défini ensemble le document à remplir. Le Bangladesh précise aussi que cinq camps de transit pour les Rohingyas vont être mis en place ainsi que deux camps d’accueil en Birmanie, pour une durée qui est censée être temporaire…
Pour l’instant, les autorités birmanes n’ont pas commenté les discussions de ce début de semaine. Reste un certain nombre de questions sur ce retour des réfugiés rohingyas : combien voudront rentrer dans un pays où ils sont discriminés ? Vont-ils pouvoir vraiment quitter ces camps d’accueil et retourner dans leurs villages d’origine ? et enfin les Nations unies pourront-elles surveiller les conditions de ces retours ?
Selon la chaîne de télévision britannique BBC, l’ONU avait demandé à participer aux discussions d’hier en Birmanie et n’a jamais eu de réponse.
Le retour des réfugiés en Birmanie devait normalement commencer la semaine prochaine. Mais respecter cette date sera impossible, annonce-t-on du côté du Bangladesh, sans préciser quand ces retours vont débuter.
Ce qui va pouvoir être possible dans les prochains jours, c’est l’enregistrement des réfugiés qui veulent rentrer chez eux. Pendant cette rencontre dans la capitale birmane, les deux pays ont défini ensemble le document à remplir. Le Bangladesh précise aussi que cinq camps de transit pour les Rohingyas vont être mis en place ainsi que deux camps d’accueil en Birmanie, pour une durée qui est censée être temporaire…
Pour l’instant, les autorités birmanes n’ont pas commenté les discussions de ce début de semaine. Reste un certain nombre de questions sur ce retour des réfugiés rohingyas : combien voudront rentrer dans un pays où ils sont discriminés ? Vont-ils pouvoir vraiment quitter ces camps d’accueil et retourner dans leurs villages d’origine ? et enfin les Nations unies pourront-elles surveiller les conditions de ces retours ?
Selon la chaîne de télévision britannique BBC, l’ONU avait demandé à participer aux discussions d’hier en Birmanie et n’a jamais eu de réponse.
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