POLEMIQUE - Des consignes visant à aménager les horaires des oraux de rattrapage du baccalauréat pour les candidats musulmans fêtant l'Aïd ont indigné plusieurs personnalités de droite ce lundi, dont le candidat à la primaire Jean-François Copé qui dénonce une atteinte au principe de laïcité. Seul hic: ces règles ont été édictées il y a plus de dix ans sous un gouvernement de droite auquel appartenait alors le député-maire de Meaux.
«Depuis une dizaine de jours, nous avons été sollicités par des chefs de centres d'examens, qui s'interrogeaient sur la conduite à tenir pour les candidats ou les interrogateurs qui demanderaient à bénéficier de l'Aïd el Fitr», la fête de la rupture du jeûne juste après la fin du mois du ramadan, susceptible de tomber le 6 juillet, au début des oraux de rattrapage qui se termineront vendredi, a-t-il expliqué. A indiqué lundi à l'AFP Vincent Goudet, directeur de la Maison des examens en Ile-de-France (Siec).
«Pour répondre à cette demande, on a rappelé la réglementation applicable, le 30 juin», a-t-il indiqué, signifiant que les candidats qui en feraient la demande pourront passer leur épreuve ce jeudi au lieu de mercredi.
Ces consignes ont suscité l'ire de plusieurs élus des Républicains, dont Jean-François Copé, mais également les sarkozystes Eric Ciotti et le porte-parole des Républicains Guillaume Peltier.
Source: Le Huffington Post
«Depuis une dizaine de jours, nous avons été sollicités par des chefs de centres d'examens, qui s'interrogeaient sur la conduite à tenir pour les candidats ou les interrogateurs qui demanderaient à bénéficier de l'Aïd el Fitr», la fête de la rupture du jeûne juste après la fin du mois du ramadan, susceptible de tomber le 6 juillet, au début des oraux de rattrapage qui se termineront vendredi, a-t-il expliqué. A indiqué lundi à l'AFP Vincent Goudet, directeur de la Maison des examens en Ile-de-France (Siec).
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