Les incidents sont survenus alors que les six candidats de l'opposition à la présidentielle ont appelé à une journée ville morte pour protester contre la réélection du président Déby.
Un appel qui a été peu suivi.
Cette initiative visait à dénoncer ce que les opposants appellent un "hold-up électoral" du président Idriss Deby Itno, réélu dès le premier tour pour un cinquième mandat à la tête du pays, lors de la présidentielle du 10 avril.
Un appel qui a été peu suivi.
Cette initiative visait à dénoncer ce que les opposants appellent un "hold-up électoral" du président Idriss Deby Itno, réélu dès le premier tour pour un cinquième mandat à la tête du pays, lors de la présidentielle du 10 avril.
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