B. Sylla a été condamné à 1 mois de prison, assorti du sursis pour coups et blessures volontaires et collecte de données à caractère personnel. En dépit de leur divorce, récemment prononcé par le Tribunal de Mbour, l’accusé n'a jamais supporté son divorce avec D. Sow, avec qui, il a eu trois enfants.
Selon le journal L'Observateur, pour la reconquérir, il s'illustre de la pire des manières. Devant son refus catégorique, l'ex époux opte pour la méthode de la bastonnade, ainsi que la diffusion des images à caractère personnel.
Les faits ont eu lieu la veille des élections législatives anticipées, aux environs de 21 heures B. Sylla quitte son domicile familial sis à Santessou et débarque chez son ex-conjointe, D. Sow, sous prétexte de rendre visite à ses trois enfants.
Seulement, une fois sur les lieux, B. Sylla, qui ne digère toujours pas sa séparation avec son ex-femme, reste sur le pas de la porte durant 30 minutes. Histoire de vérifier si d'autres hommes courtisent D. Sow. Cette dernière, qui aimerait aller à la boutique, est terrifiée par l'attitude de son ex-conjoint lorsqu'elle prend son courage à deux mains pour sortir.
Une occasion inespérée par ‘’l'agresseur’’ qui commence par vouloir lui confisquer son téléphone et, devant son refus, par des vociférations. Il s'ensuit un échange de propos désobligeants qui vire très rapidement à une violente bagarre, au cours de laquelle Sylla battra violemment D. Sow. Il profite de ce que la dame est assommée pour s'emparer de son téléphone et transférer dans le sien, ses images à caractère personnel. Plus tard, il décide de partager ces images avec son ex-épouse, ainsi qu'une de ses voisines du quartier, rapporte le quotidien du Groupe Futurs Médias.
Il menace également de partager les images avec Adamo et Kocc, deux influenceurs qui ont fait du déballage salace leur fonds de commerce sur Internet. Des menaces qui poussent D. Sow a porté plainte à la gendarmerie de la Brigade de recherche de Saly Portudal pour Coups et blessures volontaires (Cbv) et collecte de données à caractère personnel.
Après son agression, elle avait été évacuée dans une structure sanitaire et avait bénéficié d'un certificat médical d'une incapacité temporaire de travail de 7 jours. Pris de panique, B. Sylla prend la fuite et va se réfugier à Joal. Après deux mois de cavale, il est appréhendé en janvier passé par les forces de l'ordre et placé sous mandat de dépôt à la prison de Mbour.
Devant la barre, hier mardi, il a commencé par nier partiellement les faits, avant de se confondre en excuses. Pour sa défense, son avocat a sollicité la clémence de la Justice, expliquant le geste de son client par son refus du divorce avec D. Sow.
Le procureur de la République a requis 6 mois de prison ferme, mais au terme des débats d'audience, le mis en cause a été connu coupable et condamné à 1 mois de prison, assorti du sursis. Ce, après que son ex-conjointe lui a accordé son pardon, selon L'Obs.
Selon le journal L'Observateur, pour la reconquérir, il s'illustre de la pire des manières. Devant son refus catégorique, l'ex époux opte pour la méthode de la bastonnade, ainsi que la diffusion des images à caractère personnel.
Les faits ont eu lieu la veille des élections législatives anticipées, aux environs de 21 heures B. Sylla quitte son domicile familial sis à Santessou et débarque chez son ex-conjointe, D. Sow, sous prétexte de rendre visite à ses trois enfants.
Seulement, une fois sur les lieux, B. Sylla, qui ne digère toujours pas sa séparation avec son ex-femme, reste sur le pas de la porte durant 30 minutes. Histoire de vérifier si d'autres hommes courtisent D. Sow. Cette dernière, qui aimerait aller à la boutique, est terrifiée par l'attitude de son ex-conjoint lorsqu'elle prend son courage à deux mains pour sortir.
Une occasion inespérée par ‘’l'agresseur’’ qui commence par vouloir lui confisquer son téléphone et, devant son refus, par des vociférations. Il s'ensuit un échange de propos désobligeants qui vire très rapidement à une violente bagarre, au cours de laquelle Sylla battra violemment D. Sow. Il profite de ce que la dame est assommée pour s'emparer de son téléphone et transférer dans le sien, ses images à caractère personnel. Plus tard, il décide de partager ces images avec son ex-épouse, ainsi qu'une de ses voisines du quartier, rapporte le quotidien du Groupe Futurs Médias.
Il menace également de partager les images avec Adamo et Kocc, deux influenceurs qui ont fait du déballage salace leur fonds de commerce sur Internet. Des menaces qui poussent D. Sow a porté plainte à la gendarmerie de la Brigade de recherche de Saly Portudal pour Coups et blessures volontaires (Cbv) et collecte de données à caractère personnel.
Après son agression, elle avait été évacuée dans une structure sanitaire et avait bénéficié d'un certificat médical d'une incapacité temporaire de travail de 7 jours. Pris de panique, B. Sylla prend la fuite et va se réfugier à Joal. Après deux mois de cavale, il est appréhendé en janvier passé par les forces de l'ordre et placé sous mandat de dépôt à la prison de Mbour.
Devant la barre, hier mardi, il a commencé par nier partiellement les faits, avant de se confondre en excuses. Pour sa défense, son avocat a sollicité la clémence de la Justice, expliquant le geste de son client par son refus du divorce avec D. Sow.
Le procureur de la République a requis 6 mois de prison ferme, mais au terme des débats d'audience, le mis en cause a été connu coupable et condamné à 1 mois de prison, assorti du sursis. Ce, après que son ex-conjointe lui a accordé son pardon, selon L'Obs.
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