Les dépenses d’équipement estimées à 7987,7 milliards de FCFA, soit une progression de 12% par rapport à l ‘exercice antérieure, couvriront principalement la poursuite de la réalisation des grands chantiers du Chef de l’Etat.
Selon des notes du ministère de l’Economie et des Finances lues devant les députés ce week-end, cette progression imputable à la hausse des financements interne et externes ». Après ces dépenses d’équipement, viennent les dépenses du personnel, qui, avec une croissance de 4,8% par rapport à l’année 2010, engloutiront 416 milliards de FCFA pendant l’exercice qui va débuter.
Les dépenses courantes, estimées à 588,190 milliards, progresseront de 3,28%par rapport à l’année dernière. Le ministère de l’Economie indique que cette huasse est imputable à la nécessité de prendre en charge les besoins prioritaires en matière d’éducation et de santé.
Par ailleurs, l’on indique dans ce document que les financements internes seront de 517,700 milliards, soit 17% de hausse par rapport à l’exercice précédent et les financements sur ressources extérieures s’établiraient à 280 milliards, soit une hausse de 2,8 % par rapport à l’année 2010.
A noter que dans le document, il est mentionné que le déficit budgétaire global est de399,2 milliards, soit 5,9% du produit intérieur brut (PIB).
Selon des notes du ministère de l’Economie et des Finances lues devant les députés ce week-end, cette progression imputable à la hausse des financements interne et externes ». Après ces dépenses d’équipement, viennent les dépenses du personnel, qui, avec une croissance de 4,8% par rapport à l’année 2010, engloutiront 416 milliards de FCFA pendant l’exercice qui va débuter.
Les dépenses courantes, estimées à 588,190 milliards, progresseront de 3,28%par rapport à l’année dernière. Le ministère de l’Economie indique que cette huasse est imputable à la nécessité de prendre en charge les besoins prioritaires en matière d’éducation et de santé.
Par ailleurs, l’on indique dans ce document que les financements internes seront de 517,700 milliards, soit 17% de hausse par rapport à l’exercice précédent et les financements sur ressources extérieures s’établiraient à 280 milliards, soit une hausse de 2,8 % par rapport à l’année 2010.
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