"Si quelqu'un a sali le drapeau français (…) il faut qu'il le dise dès à présent, car cela revient à trahir ses camarades, l'image de la France et la mission des armées", a-t-il réagi dans une interview accordée à l’hebdomadaire français Le Journal du dimanche (JDD).
De son côté, l'ONU a nié avoir cherché à étouffer les accusations d'abus sexuels sur des enfants centrafricains par des soldats français en Centrafrique.
Elle a appelé à la "tolérance zéro" envers les auteurs de ces délits, s’ils sont avérés.
La justice française a annoncé le 29 avril qu’elle enquêtait sur les allégations d'abus sexuels, qui auraient été commises dans un centre de réfugiés de Bangui, la capitale de la RCA.
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