«Les accords signés lors de la 10e conférence ministérielle de Nairobi, notamment celui sur l’agriculture est la plus importante signée depuis la création de l’OMC. Ces accords concernaient, entre autres, la suppression des subventions à l’exportation en faveur des produits agricoles». Cette mesure, à son avis est favorable aux pays africains.
Mais elle aura aussi un impact très positif pour le Sénégal, révèle-t-il. Car, plus de 30% de l’exportation sénégalaise concerne les produits agricoles.
Le Professeur Ahmadou Aly MBAYE, titulaire de la Chaire OMC à l’UCAD, qui intervenait sur «l’Afrique dans l’économie mondiale : défis et opportunités», est d’avis que pour que le Sénégal, et l’Afrique puissent bénéficier pleinement des accords au niveau mondial, les dirigeants doivent comprendre les mécanismes de négociation pour ne pas courir le risque d’être bernés. D’où l’utilité de la Chaire.
«Quand on va en négociation, c’est important de bien pouvoir identifier les lignes rouges au-delà desquelles on ne devrait pas aller pour éviter que les retombées sur l’économie nationale ne soient un peu trop négatives. Donc notre rôle c’est aider l’Etat à identifier ces lignes rouges, mais également aider l’Etat dans le processus de négociation parce qu’il y a des techniques de négociation», a-t-il soutenu.
Et ceci est d’autant plus vrai qu’Alioune Sarr, le ministre du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation, de la Promotion des produits locaux et des PME affirme que : «Le Sénégal accorde une très grande importance au système multilatéral commercial, symbolisé par l’OMC. C’est la raison pour laquelle nous considérons l’OMC comme étant le cadre qui permet justement à l’économie africaine de se connecter à l’économie mondiale, à travers des accords préférentiels qui donnent de la valeur à nos engagements économiques».
Mais elle aura aussi un impact très positif pour le Sénégal, révèle-t-il. Car, plus de 30% de l’exportation sénégalaise concerne les produits agricoles.
Le Professeur Ahmadou Aly MBAYE, titulaire de la Chaire OMC à l’UCAD, qui intervenait sur «l’Afrique dans l’économie mondiale : défis et opportunités», est d’avis que pour que le Sénégal, et l’Afrique puissent bénéficier pleinement des accords au niveau mondial, les dirigeants doivent comprendre les mécanismes de négociation pour ne pas courir le risque d’être bernés. D’où l’utilité de la Chaire.
«Quand on va en négociation, c’est important de bien pouvoir identifier les lignes rouges au-delà desquelles on ne devrait pas aller pour éviter que les retombées sur l’économie nationale ne soient un peu trop négatives. Donc notre rôle c’est aider l’Etat à identifier ces lignes rouges, mais également aider l’Etat dans le processus de négociation parce qu’il y a des techniques de négociation», a-t-il soutenu.
Et ceci est d’autant plus vrai qu’Alioune Sarr, le ministre du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation, de la Promotion des produits locaux et des PME affirme que : «Le Sénégal accorde une très grande importance au système multilatéral commercial, symbolisé par l’OMC. C’est la raison pour laquelle nous considérons l’OMC comme étant le cadre qui permet justement à l’économie africaine de se connecter à l’économie mondiale, à travers des accords préférentiels qui donnent de la valeur à nos engagements économiques».
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