Dans l'affaire opposant Tabaski Ngom à Moustapha Diop, Dibor Tine, porte-parole de la famille de l'inspectrice du trésor, a exprimé son mécontentement concernant l'évolution du dossier. Lors d’une interview à la RFM dans l’édition de 18 heures, Dibor Tine a réaffirmé la volonté de la famille de voir Moustapha Diop convoqué devant le Pool Judiciaire Financier (PJF) pour être entendu sur les accusations qui pèsent contre lui.
Dibor Tine a insisté sur le fait que Moustapha Diop, l'ex-ministre, ne pouvait pas prétendre ignorer les preuves de l’affaire, notamment les dettes envers Tabaski Ngom. "Si Moustapha dit qu'il n'a rien reçu de Tabaski, il se leurre. Moustapha Diop sait bel et bien que Tabaski Ngom a des preuves. Il doit de l'argent à Tabaski, tout le monde le sait et lui, il le sait", a déclaré Dibor Tine, soulignant que l'ex-ministre ne peut pas continuer à nier ses obligations financières.
La famille de Tabaski Ngom met également en avant l'existence de preuves tangibles, notamment des audios, des enregistrements et des décharges, qui pourraient éclairer la vérité sur cette affaire. "Il faut que ça soit clair. Tabaski a des preuves. Nous, nous voulons que justice soit faite. La justice doit être équitable pour tout le monde", a ajouté la porte-parole, insistant sur la nécessité de poursuivre l’enquête de manière transparente et juste.
Un autre point de friction soulevé par Dibor Tine est le traitement différencié des protagonistes dans cette affaire. Elle considère qu’il est inacceptable que Moustapha Diop soit libre alors que Tabaski Ngom croupit en prison. "Ce n'est pas normal. Moustapha Diop est cité dans l'affaire. Djim Momath Ba a été cité et il a déposé une caution de 90 millions. Alors que Djim Momath était son directeur au moment où Moustapha Diop était ministre", a-t-elle ajouté, soulignant les contradictions apparentes dans le traitement de l’affaire.
La famille de Tabaski Ngom continue donc de réclamer justice et espère que le PJF agira rapidement pour convoquer Moustapha Diop, afin que toute la vérité éclate au grand jour.
Dibor Tine a insisté sur le fait que Moustapha Diop, l'ex-ministre, ne pouvait pas prétendre ignorer les preuves de l’affaire, notamment les dettes envers Tabaski Ngom. "Si Moustapha dit qu'il n'a rien reçu de Tabaski, il se leurre. Moustapha Diop sait bel et bien que Tabaski Ngom a des preuves. Il doit de l'argent à Tabaski, tout le monde le sait et lui, il le sait", a déclaré Dibor Tine, soulignant que l'ex-ministre ne peut pas continuer à nier ses obligations financières.
La famille de Tabaski Ngom met également en avant l'existence de preuves tangibles, notamment des audios, des enregistrements et des décharges, qui pourraient éclairer la vérité sur cette affaire. "Il faut que ça soit clair. Tabaski a des preuves. Nous, nous voulons que justice soit faite. La justice doit être équitable pour tout le monde", a ajouté la porte-parole, insistant sur la nécessité de poursuivre l’enquête de manière transparente et juste.
Un autre point de friction soulevé par Dibor Tine est le traitement différencié des protagonistes dans cette affaire. Elle considère qu’il est inacceptable que Moustapha Diop soit libre alors que Tabaski Ngom croupit en prison. "Ce n'est pas normal. Moustapha Diop est cité dans l'affaire. Djim Momath Ba a été cité et il a déposé une caution de 90 millions. Alors que Djim Momath était son directeur au moment où Moustapha Diop était ministre", a-t-elle ajouté, soulignant les contradictions apparentes dans le traitement de l’affaire.
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